Julie et la secte des Bienheureux (1)
Datte: 13/12/2021,
Catégories:
Hétéro
Auteur: la kalmie, Source: Xstory
POINT DE VUE DE JULIE
Je m’appelle Julie. Je suis une fille de 20 ans, 1m68 pour 53 kilos. Je suis plutôt athlétique et bien proportionnée (c’est une caractéristique reconnue unanimement par tous mes amants). J’ai des cheveux bruns assez longs dont j’ai légèrement teint certaines mèches en bleu clair, de façon très légère. Je suis une fille assez attirante sans être un canon de beauté, et même si j’ai eu plusieurs expériences sexuelles, je ne suis pas une experte ou le genre de fille qui "a déjà tout fait".
Aujourd’hui, j’emménage dans le Parc des Bienheureux. Il s’agit d’un immense parc naturel, qui s’étend sur des dizaines d’hectares et qui appartient aux Bienheureux, une secte chrétienne assez spéciale, qui vit quasiment en autarcie, même si les adultes y résidant travaillent à la ville la plus proche (qui est quand même à plus de deux heures de route). Les jeunes y sont formés pour devenir des adultes adaptés aux standards locaux, dans un esprit un peu amish, où, même si l’usage de la technologie est permis, il est bien vu de participer aux diverses activités organisées pour les jeunes et assez mal vu de passer plus de quelques minutes sur un écran.
L’année précédente, ma mère ayant rejoint les Bienheureux en tant que membre à part entière, j’étais moi dans un centre initiatique, une sorte d’introduction à leur mode de vie, dans un cadre urbain et d’une manière bien plus souple, un endroit où des jeunes "normaux" intéressés par cette philosophie pouvaient se ...
... retrouver, participer à des activités encadrées et en apprendre plus sur la façon de vivre réelle des cultistes.
Il y avait des jeunes de tous les horizons, étant donné que les Bienheureux acceptent les gens de toutes religions, y compris moi qui suis athée.
J’étais alors en fac de sociologie, où je m’ennuyais sec, n’étant pas faite pour une vie d’étudiante ou encore moins d’employée. J’avais adoré la façon de réfléchir et de vivre de mes hôtes, et ma mère emménageant cette année dans un centre pour adultes à plus de deux cent kilomètres où seuls les Bienheureux adultes et confirmés pouvaient vivre, comme plus rien ne me retenait à la fac de la grande ville où j’habitais avec ma mère, je fis la demande au chef de la section d’initiation de me faire entrer dans le Parc, ce qui était normalement impossible aux non-chrétiens.
Cependant, étant donné mon entrain et le "potentiel qu’il voyait en moi", j’avais été acceptée en essai, pour une période de trois mois, en précisant que je pourrais arrêter quand il me semblerait, mais aussi que je pourrais me faire renvoyer si je manquais aux règles de la communauté.
Il y avait aussi trois autres jeunes de mon centre, que je connaissais bien et qui étaient mes amis qui avaient été pris selon les mêmes conditions, deux filles et un garçon :
Tout d’abord, il y avait Marie, une fille d’origine sénégalaise, pétillante et énergique, très volontaire et sportive. Elle était celle avec qui je m’entendais le mieux, et elle était assise ...