1. Le piège. (14)


    Datte: 13/12/2021, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: hélène75, Source: Xstory

    La fin de semaine est particulièrement dure à supporter, car j’ai de plus en plus souvent envie de me masturber. A la maison, ma mère est de plus en plus provocante et elle multiplie les occasions de me montrer ses charmes. Matin et soir, je la vois déambuler en lingerie entre sa chambre et la salle de bain. Lorsque nous regardons la télévision ensemble après le dîner, elle est allongée sur le canapé et sa chemise de nuit entrouverte laisse voir le haut de ses cuisses et je devine son sexe sous la fine nuisette qu’elle porte. Un soir, j’ai tenté de susciter une réaction de sa part en lui disant.
    
    — Maman, n’aurais-tu pas envie d’un bon massage pour te délasser après ta journée à l’hôpital ?
    
    En lui disant cela, j’espérais ainsi l’amener à me retirer la cage de chasteté pour que je puisse ensuite satisfaire mes envies avec elle. Mais elle me répond de manière très désinvolte.
    
    — Non chéri, pas ce soir ! J’ai envie de suivre la fin de cette excellente émission.
    
    Monsieur Dubout n’est pas en reste non plus. Il me sollicite régulièrement par de petits SMS me disant qu’il a très envie de moi, mais qu’il est débordé en ce moment. Ne pouvant ni jouer au mâle avec ma mère ni à la salope avec Henri, il m’est donc impossible de satisfaire mes envies.
    
    Lorsque je me réveille ce vendredi matin, je me dis qu’il n’y a plus que 24 heures à tenir, car ma mère m’a promis une surprise demain samedi. J’espère vraiment qu’elle tiendra ses promesses. Pendant toute la journée, mes ...
    ... pensées sont obnubilées par ce samedi matin que j’attends avec impatience. Deux semaines que mon sexe est en cage, deux semaines que je ne me suis pas branlé, deux semaines que je suis obligé de retenir mes envies. A la fac, quel que soit le sujet du cours – théologie, philosophie antique, philosophes des lumières ...- rien n’y fait ! J’imagine ma mère livrée à mes envies, je la prends et je la reprends. J’en fais ma bourgeoise soumise, ma docile salope, ma femelle lubrique. Ce vendredi soir, j’avoue avoir du mal à m’endormir et, lorsque c’est fait, mon sommeil est des plus érotiques.
    
    Ayant mal dormi, je n’émerge que vers 9h30 en ce samedi matin et c’est avec bonheur que je vois ma mère m’apporter le petit-déjeuner au lit. Tandis que je dévore mes croissants et bois mon café, elle vaque dans ma chambre pour y mettre un peu d’ordre même si ce n’est pas dans ses habitudes. Comme il fait chaud dans la pièce avec le radiateur à fond, elle ne porte qu’une légère nuisette ultra-courte. Lorsqu’elle est de dos, je devine ses fesses et son petit cul. Lorsqu’elle est de face, il suffit qu’elle soulève un peu les bras pour que je voie son sexe. Ma queue cherche à se déployer dans sa cage, vivement que le supplice se termine. Ayant terminé mon café et mes croissants, ma mère s’approche du lit et s’empare du plateau. Elle me dit:
    
    — Mets-toi à l’aise chéri et reste allongé sur le lit. Je reviens tout de suite !
    
    Je lui réponds aussitôt.
    
    — Oh oui maman. Depuis le temps que j’attends ...
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