Mon petit jardinier 02.
Datte: 12/12/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Coquine3618, Source: Hds
À genoux devant mon beau jardinier, mes deux mains agrippant l’élastique de son slip gonflé, je devine que ce qui se cache dedans est exceptionnel, mon petit garçon se laisse faire, sa timidité me touche au plus haut point, je ne veux pas brusquer les choses, je prends mon pied en retardant au maximum l’instant de la découverte de son truc, j’ai même l’impression que pendant ce temps la protubérance simplifie, l’élastique récent serre très fort et la chose se développe encore horizontalement empêchée de s’épanouir verticalement, la légère courbure et les dimensions gargantuesques de l’instrument me font penser de plus en plus à une banane, mais pas n’importe laquelle, plutôt à une banane plantain.
Avant d’entamer mon acte de libération tant espéré, je regarde une dernière fois dans les yeux mon petit jouvenceau. Il me semble gêné de bander devant moi, même si pour l’instant je ne vois rien, sauf que, mon imagination bouillonnante dessine dans ma tête un trucmuche irréel.
Mais je crois qu’il est grand temps de découvrir ce secret si bien gardé, j’écarte le haut du slip pour faciliter l’épanouissement de son KOKO, d’un mouvement rapide il se dresse verticalement sans coup férir, mon intuition était bonne ! J’ai jamais vu un bazar pareil, je descends rapidement son cache sexe pour admirer l’ensemble de l’œuvre.
La bébête est loin d’être morte, elle secoue la tête pour me dire bonjour, le bitonio est d’un noir ébène du plus bel effet.
« Noir, noir » Comme dirait ...
... Muriel Robin, le soleil déclinant, ses rayons frappent de profil le bordel qui étincelle et m’éblouit.
La peau lisse et polie du gland luit, resplendit et brille de mille feux, subjuguée j’ai l’impression que je peux me mirer dedans.
Lentement le petit col roulé de peau qui me cache encore la moitié de son bout se déplie petit à petit tout seul, et je peux maintenant apercevoir le renflement de cette colline boursouflée par un afflux massif de sang bouillonnant de désir, les bourrelets de peau s’accumulent à la base de ce surplomb, un furieux besoin de tester l’élasticité de cette peau délicate m’envahit afin de savoir comment branler cette bite.
J’approche doucement mes mains pour ne pas effrayer notre ingénu, il a d’abord un réflexe de surprise et un mouvement de retrait quand je saisis de ma main droite sa splendide matraque de CRS, puis, soif de connaître les bienfaits d’être branlé par les mains d’une fille il se ressaisit rebrousse chemin et renfle ses fesses pour faciliter le rapprochement de la plus belle partie de son anatomie..
Même si je mets ma deuxième main sur ce baliveau, il y a encore de la place pour entourer entièrement l’intégralité de son KOKO, mes mains d’ailleurs n’arrivent même pas à faire la circonférence du tube.
Je le branle doucement, sa peau fine et délicate coulisse merveilleusement, délicatement et sans trop le brusquer j’entame un va-et-vient qui évidemment ne le laisse pas de marbre, il est immobile, les yeux fermés, la bouche ...