Le Billard
Datte: 12/12/2021,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byRainett, Source: Literotica
... n'est-ce pas? C'est si doux, au toucher, si soyeux, j'aime te caresser. Tu veux bien les garder pour me faire l'amour? Juste glisser un peu pour sortir ton sexe. Comme ça, voilà. Tu parais encore plus dur avec cette culotte. Elle te fait de l'effet, n'est-ce pas? Tu les garderas tout le temps, pour me faire plaisir. Tu veux que je sois heureuse, n'est-ce pas? Je t'aime.»
Je repensais à sa discussion avec Cédric, à ce qu'il lui avait demandé. C'était des culottes de fille, mais elles étaient si belles et si douces. J'ai trouvé drôle que ça me plaise, et j'ai pensé que je pourrais jouer le jeu pendant un moment, juste pour lui plaire, et lui faire plaisir. Sans savoir où tout cela me mènerait. C'est fou, quand on y pense, le nombre de conneries qu'un homme peut faire, par amour pour une femme.
Elle s'est allongée tout contre moi en massant ma bite par-dessus la culotte. Elle me parlait de ma peau douce, de mon teint de pêche, de la rondeur et de la douceur de mes fesses de fille. Elle m'a dit qu'elle aimerait m'habiller en fille, me faire porter de la lingerie, que ça l'exciterait. Elle m'a dit que je serais "heureuse" de porter des sous-vêtements "découpés aux bons endroits", afin que je sois accessible et féminine.
Elle me parlait d'une voix douce, sans cesser de caresser, elle me parlait d'hormone à base d'œstrogènes, de l'épilation à l'électrolyse, de gonfler un peu ma poitrine, pas trop, juste ce qu'il faut, que nous serions comme des copines.
Elle m'a parlé ...
... de Cédric, de son sexe énorme, qu'il l'avait pressé contre elle, sur sa hanche, sur ses fesses. Que cela lui avait procuré une émotion, elle avait trempé sa culotte. Elle m'a dit que c'était vrai ce qu'on raconte sur les africains, tu sais, si gros, si virils, et si pressants. Elle pensait sûrement à Cédric quand elle s'est mise à quatre pattes.
Elle m'a dit de la prendre en levrette, sans ôter ma culotte, juste glissée de côté, j'ai glissé ma bite dans sa moiteur, elle nous regardait dans le miroir à côté du lit, moi la chevauchant, elle disait :
«Oh, mon dieu, Camille, comme tu bouges bien tes fesses, tes fesses si rondes dans ta culotte de fille, tu as un boule de fille, chéri, tu es si féminine. Tu aimes ta culotte de fille. Tu aimes quand je te parle comme ça. Tu me baises bien, ça t'excite, hein? Oui, chéri, baise-moi plus dur, plus fort, baise-moi comme un homme, vas-y, défonce-moi...OUI!»
«Tu es venu fort, chéri. Ça t'excite quand je te parle de Cédric, de sa virilité? Et quand je te traite de fille, tu aimes? Regarde, tu reviens déjà en forme. Tu verras, on va bien s'amuser, quand tu seras vraiment efféminé. Maintenant, viens avec ta bouche, bonne fille, Camille.»
Elle m'avait mis une culotte et elle m'avait traité de bonne fille. Elle me parlait de cet africain qui l'émoustillait. Pourquoi ce type nous excitait autant, tous les deux. Nous avions baisé comme des bêtes en pensant à lui. Pourtant, je ne suis pas gay. Il chauffe ma femme et je ne suis pas ...