Il Professore - Histoires de Sexe

Il Professore

... suis heureux de t’avoir pour bru. Je vais te montrer où sont les ustensiles de ménage et les outils de jardin.

Elle était rouge et toute chaude. Visiblement, elle percevait parfaitement l’érection de son beau-père et une vague de chaleur rayonnait de son ventre. Au lieu de chercher à s’enfuir, au contraire, elle se cala un peu plus sur l’homme dont les mains effleuraient maintenant le haut de ses cuisses.

— Mais j’y pense, continua-t-elle, nous prenons nos repas seuls, chacun de notre côté. C’est stupide, je pourrais faire de la cuisine pour deux et manger avec vous ?
— Tu fais bien déjà pour deux, Ugo et toi, non ?
— Oui, bien sûr. Mais il mange tôt avant de partir, plutôt un casse-croûte, un gros petit-déjeuner. Trop tôt pour moi. Je lui prépare une « gamelle » qu’il mange pendant sa pause, et quand je déjeune à midi, il dort…
— Alors tu continues à lui préparer ses repas, et tu viens préparer les nôtres ici. D’accord ?
— D’accord. Oh que je suis heureuse. Merci. Merci.

Elle lui fit encore deux gros baisers sur les joues, qu’il lui rendit en la serrant fort contre lui, ses mains courant dans son dos jusque sur ses fesses. Il bandait comme un âne au contact de ce corps dodu et chaud. Elle se releva à regret, il avait un petit ovale humide sur son pantalon clair. Il lui montra le placard des ustensiles et celui des produits ménagers, sous l’évier. Elle se mit à quatre pattes pour inventorier les flacons, il mata avidement le postérieur charnu qui se tendait, ...

... peut-être ostensiblement, vers lui. Belle pièce ! Ensuite ils descendirent au sous-sol pour voir les outils de jardinage. Elle tomba en arrêt devant la voiture.

— Oh ! C’est à vous cette merveille ?
— Oui, bien sûr.
— Mais… vous ne vous en servez jamais ?
— Non, plus maintenant. Je l’utilisais pour aller en vacances avec Claudia, elle aimait tant le soleil. C’est pour cela que j’avais acheté une décapotable.
— Oh !… Ce rêve, dit-elle en caressant une aile rouge.
— Tu voudras que je t’emmène faire un tour dedans ?
— Oh oui ! J’en serais ravie.
— Alors je vais faire venir le mécanicien pour qu’il la remette en état.

Elle l’embrassa à nouveau en se serrant contre lui, il se remit à bander si tant est qu’il eût arrêté. Mais avant que son ventre ne lui écrase le pénis, il ne s’en rendait plus compte. Il lui passa un bras autour de la taille et la garda serrée contre lui pour lui montrer l’outillage, il y avait l’essentiel. Elle remonta devant lui, dandinant son généreux popotin, il l’aurait volontiers retenue par les hanches pour fourrer son museau entre ces fesses charnues. Il y avait longtemps que« il professore » ne s’était pas masturbé comme un ado, mais le besoin était urgent.

En rentrant de l’université quelques jours plus tard, il trouva que son appartement était resplendissant et sentait bon. Les volets étaient baissés et projetés, comme le permettent les volets « à l’italienne », du côté du soleil. Il faisait bon et c’était agréable. Il fureta jusqu’à sa ...