Il Professore
Datte: 12/12/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
alliance,
profélève,
handicap,
campagne,
amour,
fsoumise,
Oral
pénétratio,
hdanus,
portrait,
enfamille,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... les traiter une par une jusqu’en haut. Ça y est, au fil des pressions, la touffe de poil apparaissait et avec elle ce léger parfum de femelle qui aggrava soudainement son érection. Quand il osa passer aux fesses, une dans chaque main, le sillon s’ouvrit franchement et vulve béante et anus palpitant le remplirent d’admiration et de désir. Plus il forçait, plus les orifices béaient et se refermaient avec un bruit humide… et plus il bandait. Au bout d’un moment, elle se redressa sans prévenir.
— Hou ! Ça fait un bien… immense. Regardez, il en faudrait un peu là aussi…
Elle désignait ses seins, rougis jusqu’à plus de la moitié, avec le V blanc du soutien-gorge. Nom d’une pipe, ces seins ! Gros, drus, coniques, avec des aréoles très pâles dans le prolongement parfait des cônes, terminés par deux gros tétons plus sombres comme des framboises. Par analogie, il s’écria :
— Voilà ce qu’il faut planter aussi : des framboisiers, des groseilliers, des cassis, tous ces fruits rouges délicieux.
— Ouiiii ! Très bonne idée ! Et je ferai des gelées et des glaces. Il faudrait des fraises aussi, des grosses et des fraises des bois, si parfumées… Comment avez-vous eu cette bonne idée ?
— C’est en voyant tes framboises, elles ont l’air mûres à point. Framboises, mûres…
— Ha-ha ! Vous n’avez qu’à les goûter, vous verrez bien…
— Ne me dis pas cela deux fois, sinon je ne réponds plus de rien.
— Goûtez-les, dit-elle d’une voix rauque en fixant ses yeux et en tirant sur ses poignets ...
... pour amener ses mains sur ses seins. Goûtez-les, elles sont à vous.
C’est là que tout bascula. Les mains de Giancarlo s’emparèrent des seins de Paolina, leurs bouches se rejoignirent avec un tel désir, une telle voracité que leurs dents s’entrechoquèrent. Il la pelota tendrement, la couva, la cajola, la souleva dans ses bras et l’emporta sur le lit. Dévêtu en un éclair, il picora ce corps désirable sans en oublier un millimètre. De la bouche aux oreilles et au cou, il huma son duvet sous les bras et téta longuement ses seins, suça les petits orteils et lécha la plante des pieds avant de remonter se déshydrater à la source qui coulait déjà en abondance. Paolina était l’exact opposé de Claudia qui, par sa puissance physique, imposait les gestes qu’elle préférait, manipulant son mari presque comme un pantin. Au contraire, la jeune femme se laissait faire, facilitatrice, mais jamais initiatrice. Il la dégusta donc à sa guise, sous toutes les coutures, la retournant pour parcourir son dos, sa chute de reins, la hissant sur les genoux pour laper sa vallée, fouiller de la langue sa vulve et sa rosette. Elle gloussait, ronronnait, frémissait.
À plusieurs reprises, il lui avait pris une main pour en enrober son sexe qu’elle caressait gentiment, lui avait mis dans la bouche, l’avait coincé entre ses seins. Enfin il força son gland à s’abaisser vers l’entrée de sa chatte détrempée, et il la pénétra lentement, jouissant millimètre par millimètre de cette expérience inédite. Quand ses ...