Tina poursuit ses épreuves (1)
Datte: 12/12/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: tina chienne soumise, Source: Xstory
... plusieurs doigts dans la chatte.
Tina chienne femelle salope à son Maître Olivier
Autre épreuve imposée à Tina, se rendre dans un grand magasin et retirer ses sous-vêtements dans une cabine.
Bonsoir Maître,
Après un moment de flottement, je reviens vers vous avec plus d’envie, de conviction.
En rentrant du bureau, je me suis arrêtée dans la galerie marchande d’une grande surface, dans un magasin de vêtements.
En partant du bureau, j’ai pris la décision de vous obéir, et c’est le cœur battant que j’ai pris la direction du parking de cette grande surface.
La voiture garée, je suis descendue et rentrée dans la galerie. Sous un aspect calme et décontracté, en moi mon cœur battait et des frissons d’angoisse, de honte et d’excitation me parcouraient le corps. Une douce chaleur, mais aussi une angoisse paralysante. Un mélange troublant, entre honte et désir qui faisaient durcir mes seins. Deux personnalités en moi, la réservée, la pudique, qui me disait de repartir, et Tina la chienne qui s’excitait à l’idée de ce qu’elle allait faire.
Vêtue d’un tailleur gris sombre, jupe droite au-dessus du genou, une veste croisée boutonnée par 2 boutons sur un chemisier beige en soie fine, un coupe-vent 3/4 gris ouvert. Dessous, un soutien-gorge blanc en dentelle, un string blanc, des bas dim up, aux pieds, des escarpins fermés noirs.
J’entre dans ce magasin et déambule de façon nonchalante dans les rayons, faisant mine de chercher, mais troublée par ce que je ...
... devais faire. Je jette mon dévolu sur une jupe et un pull, et me dirige vers les cabines d’essayage.
Une fois le rideau tiré, je quitte le 3/4, la veste, le chemisier et retire mon soutien-gorge. Je fais de même pour le string. Je reste un moment immobile, essayant de maîtriser ma respiration, ma honte, mon angoisse.
Une grande inspiration et je repasse le chemisier, les seins tendus, pointant. Je passe ma veste sans la fermer, range mon string et le soutien-gorge dans le sac.
En sortant, je demande à la vendeuse si je peux laisser ma veste dans la cabine pour changer les vêtements. Elle porte un regard sur moi, je ne sais pas si je n’ai pas rougi de honte, mais elle répond en souriant : « pas de problème ».
Sans croiser son regard, je file dans les rayons, en me persuadant d’être naturelle, que personne ne peut savoir ce que je fais.
Prenant une attitude la plus naturelle, je passe et repasse dans les rayons, m’arrête devant des robes, les regarde, les touche, le regard absorbé par ce tri, pour ne pas croiser un autre regard.
Combien de temps, je ne sais pas. Le temps semble interminable quand on est dans une position d’angoisse.
Je reviens à la cabine, espérant ne pas croiser le regard de la vendeuse. Je me dirige vers ma cabine quand j’entends dans mon dos : « vous avez trouvé ce qu’il vous faut » ?
Surprise, prise d’angoisse, je retourne et vois cette vendeuse souriante. Je réponds un « oui » et m’enferme dans la cabine un long moment, essayant de ...