1. Les défis de Juliette (1)


    Datte: 11/12/2021, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: chloe23, Source: Xstory

    ... sursauta en découvrant ma nudité, d’autant mieux que je laissai ma main droite sur le levier de vitesses, pour que mon bras ne cache rien de mes seins. J’écartai bien mes cuisses, pour exhiber mon minou tout lisse, et je regrettai de ne pas pouvoir montrer ma fente trempée.
    
    Il baissa sa vitre, me cria quelques mots que je ne compris pas, mais je dus accélérer afin de libérer la file de gauche, pour des voitures qui me rattrapaient. A regret, je me rabattis à droite et je ré-accélérai, pendant que je voyais dans mon rétroviseur les appels de phares du camion. Sans doute une façon de me dire merci...
    
    Il ne me fallut pas plus de deux minutes, pour rejoindre deux autres poids lourds qui se suivaient. J’attendis de n’avoir aucun véhicule en vue sur la file de gauche, et je recommençai la même manœuvre. Dépassement... Ralentissement à la hauteur de la cabine... Ma chatte coulait comme une fontaine... Le chauffeur m’aperçut... Cette fois, je poussai plus loin, en lui adressant un signe de la main !
    
    Je ré-accélérai un peu, pour dépasser le camion de tête, qui avait une plaque polonaise. Le chauffeur baissa lui aussi sa vitre, me dit des choses que je ne compris pas, me fit des grands signes, klaxonna... Il me prenait manifestement pour une pute en train de racoler ! Loin de me vexer, cette situation m’excitait, j’étais au bord de l’orgasme.
    
    Je commis l’erreur de penser à Juliette ce moment-là, et j’ai joui au volant. Personne ne pouvait me voir ni m’entendre, et je ...
    ... glissai ma main gauche entre mes cuisses, en criant - ou plutôt en hurlant...
    
    Sur deux ou trois kilomètres, j’ai eu du mal à me concentrer sur ma conduite, mais j’ai fini par me contrôler. Il le fallait, d’autant plus que je n’étais plus très loin de l’aire de repos de Réveillon, où j’avais prévu de m’arrêter pour me rhabiller. Et je n’avais pas intérêt à rater la sortie: c’était la dernière aire avant Angers !
    
    Mais un imprévu m’attendait ! Deux fourgons d’entreprise me rattrapèrent, lancés à fond. Je ne sais pas s’ils avaient aperçu mon petit manège, mais lorsque le premier arriva à ma hauteur, il ralentit... Cette fois, les rôles étaient inversés !
    
    Ils étaient trois à l’avant du camion, et le passager baissa la vitre. Il avait une vue plongeante sur ce corps que j’exhibais, ça le mit dans tous ses états ! Et le passager assis au milieu déboucla sa ceinture, pour se pencher lui aussi à la portière !
    
    J’ai eu le droit à des: "t’aimes exciter les mecs, salope ?", ou "tu prends combien pour une pipe ?". La honte, l’humiliation m’envahirent. Je ne pouvais pas me dégager, car ils réglaient leur vitesse sur la mienne.
    
    Le temps me parut interminable, jusqu’à ce qu’ils accélèrent. Malheureusement pour moi, ils ont fait signe à leurs collègues, dans le deuxième fourgon ! Sauf que lorsque celui-ci arriva à ma hauteur, et que le passager baissa sa vitre, nous arrivions à la bretelle d’accès de l’aire de repos.
    
    J’ai eu le réflexe d’attendre le dernier moment pour m’engager ...
«1...3456»