1. Mon père (9)


    Datte: 11/12/2021, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: raspou1968, Source: Xstory

    ... salon.
    
    Mais j’en veux plus. Je ne sais pas si Bruno et papa y sont prêts, mais je veux sa queue à l’intérieur de moi. Pendant qu’il me doigte sans pitié, j’essaie de l’imaginer, sa queue. S’il avait beaucoup de succès auprès des femmes, je ne peux que supposer qu’elle est belle. Et relativement volumineuse. D’ailleurs, tout à l’heure, j’ai vu que la bosse qui était apparue dans son pantalon semblait prometteuse.
    
    Il me doigte, il me doigte. Pendant ce temps-là, papa en profite pour faire passer mon top par-dessus ma tête et ce sont mes seins qui surgissent sous le regard de ces deux mâles. Car à cet instant, il n’y a plus de papa et son meilleur ami. Il y a juste deux mâles qui ont envie de la femelle se trouvant près d’eux.
    
    J’en veux plus. Toujours plus. Alors je dis, entre deux gémissements :
    
    - Je peux toucher ta bite, Bruno ?
    
    Les deux hommes se regardent, mon père a un air un peu ahuri. En revanche, sur le visage de Bruno je ne vois que de l’excitation. Une grande excitation même. Il se tourne vers papa, lequel opine du chef en silence, les yeux écarquillés.
    
    - Oui, ma petite Alexia. Découvre-là toi-même.
    
    Il se redresse, difficilement, et se place debout devant moi. Son pantalon est déformé. Il bande et ça me plait. Je défais sa ceinture avec précipitation, dézippe sa braguette. Son pantalon tombe sur le sol. Il est en boxer. Je ne sais pas s’il est très moulant ou si son sexe est très volumineux, mais ce que je vois devant mes yeux me donne une envie ...
    ... folle, déraisonnable.
    
    J’approche mon visage et attrape sa queue avec mes lèvres, sans la sortir de sa protection. Je le suce de cette façon, le tissu soyeux formant encore une barrière. Très symbolique. Il y a de la chair là-dessous, je le sens avec ma bouche.
    
    Mais comme j’en veux plus, toujours plus. Cet homme me plait et je ne veux pas le décevoir. Alors je mets les deux mains sur les élastiques du haut du boxer, et le descends d’un coup. Sa queue jaillit devant moi, comme un diable de sa boîte !
    
    Mon dieu … cette queue … si celle de papa me semblait grosse, ce n’était rien à côté de celle de son ami Bruno. Son gland est parfait. Enorme et violacé. Sa tige est parcourue de dizaines de veines très saillantes. Elle est longue, et épaisse. Une touffe de poils se dresse sur son pubis, contrairement à papa qui a un sexe tout lisse. Mais ce qui m’impressionne surtout, c’est la grosseur et la rondeur parfaite de ses bourses. Deux belles couilles certainement emplies de foutre. D’un foutre que j’essaierai coûte que coûte de faire gicler en moi ou sur mon corps.
    
    Bruno, en bon mâle qui se respecte, semble fier de son engin et c’est avec un sourire satisfait sur le visage qu’il observe ma réaction de stupeur et de contentement à sa vue. Les hommes sont ainsi faits, je commence à le comprendre : ils sont contents de leur grosse queue. Seulement moi je sais déjà que ça ne suffit pas à une femme pour jouir. Et je suis déjà sûre que Bruno ne se servira pas que de sa bite pour me ...