Ma tante, son amie et moi (1)
Datte: 10/12/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Rascar-capac, Source: Xstory
Il était tôt, vers les 6h du matin. On approchait de l’été et le soleil tentait de percer les doubles rideaux de la modeste chambre de ma tante. Cela faisait 2 jours que je m’étais incrusté et couchais sur un matelas par terre coincé entre l’armoire et son lit bateau. La pièce était allongée, mais étroite au dernier étage d’une maison de ville qu’elle partageait avec une amie.
Moi j’étais en première année de fac de droit. Je venais théoriquement voir mon père pour passer quelques moments avec lui, mais je m’y ennuyais tellement que je préférais la compagnie de sa sœur qui habitait à quelques kilomètres de là.
Elle avait quitté la grande ville, comme elle disait, pour un petit village de Normandie afin d’y monter un petit commerce avec l’une de ses meilleures amies.
Elle avait des cheveux roux et des traits ingénus qui lui donnaient un petit air d’Emma Stone. Elle avait une quarantaine d’années, et avait connu quelques aventures ratées après avoir été abandonnée par son grand amour de jeunesse.
J’étais souvent parti avec elle plus jeune pendant mes vacances et ressentais une certaine fierté à déambuler auprès d’une femme qui attirait les regards.
Elle n’avait pas d’enfants et prenait soin de moi comme si j’étais le sien.
La veille de ce matin, nous avions passé une très bonne soirée un peu arrosée avec Annie, son amie.
J’étais monté me coucher juste avant elle. Elle avait allumé une lumière douce à côté de son lit et s’était déshabillée près de la ...
... fenêtre. Je vis qu’elle me regardait, mais je feignais le sommeil.
J’entrouvrais les yeux de temps en temps pour apercevoir ses jambes, le haut de son épaule. Sa technique était bien éprouvée pour ne monter que le strict minimum et faire monter mon imagination et le reste ! J’eus beaucoup de mal à m’endormir, écoutant son souffle trop lointain me caresser l’oreille.
J’étais dans un autre monde quand le radio réveil se mit à biper comme s’il y avait un incendie. Elle l’éteint très vite, sortit de son lit en m’enjambant doucement. Elle dormait avec une chemise et je m’aperçus, bien qu’un peu ailleurs, qu’elle ne portait pas de culotte. Je vis ses fesses passer au-dessus de moi et rallumer en moi l’incendie étouffé par le radio réveil. Elle prit des sous-vêtements, puis se dirigea vers le fauteuil près de la fenêtre où elle enleva sa chemise. Quel spectacle, je n’en perdis pas une miette. J’admirai son cul bien rebondi et m’en rassasiai. Même après avoir mis sa culotte légèrement transparente, le feu s’intensifiait.
Elle se pencha alors légèrement de côté pour prendre son soutien-gorge, et je vis alors son sein droit me narguer. Les pompiers n’auraient pas été de trop, je brûlais de l’intérieur !!!
Après s’être habillée, elle quitta la chambre discrètement, me laissant là consumé sur place.
Le sommeil était déjà loin, et je mis ma main sous mon caleçon pour entamer des va-et-vient frénétiques. J’attrapai ensuite la boîte de mouchoirs à proximité, en tirai quelques-uns ...