À l'école des femmes (9) - Histoires de Sexe

À l'école des femmes (9)

... crois que je devrai toujours être dominatrice avec mes partenaires ?

— Non, ma chérie. La domination ne constitue qu’un talent en plus chez toi. Le jour où tu auras quelqu’un dans ta vie, ce sera à toi de décider ce qu’il mérite de ta part.

— Merci, papa. C’est aussi ce que m’a dit maman.

Le silence s’installa à nouveau quelque temps puis Jessica relança le dialogue.

— Jusqu’à maintenant, entre les cours du centre et ce qu’il y a maintenant entre Fabien, maman et moi, je n’ai connu que la domination. J’aimerais beaucoup voir ce que cela fait de voir le désir que je peux susciter chez un homme avant qu’il ne me prenne avec passion.

— Tu en trouveras certainement plus d’un pour cela, ma chérie.

— Je pense avoir déjà trouvé le premier.

Jessica se dirigea vers la porte du bureau et en tourna le loquet afin de la verrouiller. Ôtant sa veste, la jeune femme déboutonna son chemisier en adressant un regard suggestif à Sébastien.

— Qu’est-ce que tu fais ?!

— Ce n’est pas toi qui disais que les hommes de notre famille mettaient un point d’honneur à satisfaire les femmes, et plus particulièrement les leurs ? Aux dernières nouvelles, je fais partie de ta famille. Alors, satisfais-moi, papa.

— Ce n’est pas aussi simple que cela, Jessica. Aujourd’hui, je suis marié à ta mère et je tiens à ce mariage.

— Je n’en doute pas mais, d’une certaine manière, maman te trompe en étant la maîtresse de Fabien. Même si elle t’en a parlé avant.

— Ce n’est pas ce que ...

... j’appelle de la tromperie. Ta mère et moi avions une situation à laquelle nous devions faire face et nous avons décidé ensemble de la stratégie à appliquer.

— Maman m’a incluse dans son petit jeu avec Fabien pour mon entraînement. Dis-toi seulement que tu fais la même chose mais à ta manière.

Sans se soucier du regard interloqué de l’avocat, la jeune femme poursuivit son effeuillage, ne conservant sur elle que sa culotte. Tout en malaxant sa poitrine, Jessica fixa Sébastien d’un air de défi.

— Tu devrais te dépêcher de te rhabiller. Le reste du cabinet ne va pas tarder à arriver.

— Je viens de fermer la porte. Ils comprendront certainement qu’il ne faut pas te déranger.

— Ah… J’ai comme l’impression que tu ne partiras pas avant d’avoir eu ce que tu veux.

— Tu as fini par comprendre, on dirait. Je vais t’aider à te mettre plus à l’aise.

Jessica se dirigea vers son père et entreprit de défaire les boutons de sa chemise. Une fois le vêtement tombé au sol, la jeune femme enlaça l’avocat, ses seins se frottant à ses pectoraux. Ne sachant d’abord comment réagir, Sébastien demeura quelques instants sans bouger puis il finit par caresser les hanches et les fesses de sa fille. La jeune femme se libéra de son étreinte puis fit glisser la fermeture éclair de son pantalon. En constatant à travers le boxer l’ampleur que sa verge avait prise, elle sourit.

— Ce que j’aime avec les queues, c’est qu’elles ne peuvent pas mentir. Tu le veux autant que moi et ce que je vois ...