L'institut. (1)
Datte: 09/12/2021,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Laure8314, Source: Xstory
... accès à mon mont de Vénus. Vincent plaqua ses mains sur mes cuisses et remonta inlassablement vers ma vulve.
Vincent approcha ses doigts de ma fente humide, il frôla mes lèvres vaginales, il en dessina le contour. Ses doigts s’insinuèrent dans mon sillon, il remonta et vint titiller, agacer mon clitoris gorgé de désir.
Ses doigts passèrent de mon clitoris à l’entrée de mon vagin, il joua inexorablement avec mon désir, mon envie.
Mes mains empoignèrent le drap que je serrais fortement, mes yeux étaient fermés, je respirais par saccades, des petits soupirs sortaient de ma bouche.
Je me mordais les lèvres pour ne pas hurler mon plaisir, je coulai littéralement quand son pouce dessina des cercles appuyés sur mes lèvres, alors que ses autres doigts titillaient mon clitoris.
Il joua à me faire monter, puis descendre, il alterna ses caresses, sur mes seins, mon clitoris et mon antre. Je me tendis comme un arc.
J’étais folle, ivre d’envie, ivre de désir, ivre d’être prise. Je soulevai mon bassin pour accentuer l’effet de son pouce sur et dans mon sillon. J’ondulai du bassin pour lui signifier mon désir, mon envie.
Un éclair me foudroya le ventre, une boule de feu traversa mon échine quand il me pénétra de deux doigts en crochet.
Il fouilla ma grotte sans répit. Vincent cherchait le petit corps spongieux au fond de ma cavité utérine.
Il le trouva.
Son contact sur mon point G me procura une violente décharge qui transperça mon échine de part en ...
... part.
Cette étreinte prit fin quand je sentis son souffle chaud sur mon intimité.
Vincent posa sa langue sur mon bourgeon et l’aspira sans demi-mesure. Il me lécha, me lapa. Il se délecta de mon nectar, j’étais trempée.
L’agilité de sa langue experte faillit me faire partir plus que de raison.
J’attrapai mes seins que je malaxai, pétris à pleine main. Je jouai à faire darder plus que de raison mes tétons qui étaient incroyablement sensibles, durs, alors que Vincent me sondait et me léchait. Sous ses assauts, mon bouton d’amour se gorgea, il l’aspira, le lécha.
Vincent prit appui sur ses mains, ses bras tendus étaient de chaque côté de ma tête.
C’est en le fixant intensément du regard, que je sentis son gland écarter mes lèvres et partir à la conquête de mon vagin.
J’avais les yeux grands ouverts quand son sexe s’enfonça en moi. Je fus surprise par la longueur de sa tige. J’avais l’impression que sa pénétration ne s’arrêtait pas. Il glissa en moi jusqu’au fond de mon vagin.
A cet instant, des éclairs de plaisir vinrent tétaniser mon bas-ventre. J’étais paralysée par l’intensité fulgurante de sa pénétration. J’en jouis presque instantanément.
Il me prit doucement, il savourait sa conquête, ses mouvements étaient lents et amples, précis. Il accéléra progressivement le rythme quand il perçut les ondulations de mon bassin.
Je soulevai mon bassin, le forçant à stopper tout mouvement. Mon bassin infligea et imprima sur la tige raide de mon masseur des mouvements ...