1. Leila , moi et notre mentor (6)


    Datte: 07/12/2021, Catégories: Gay Auteur: steve1993, Source: Xstory

    ... branle et caresses sur ses grosses boules. Je me délectai d’un sexe masculin. Je n’avais plus honte de mes envies.
    
    Je suçai en faisant un bruit de succion et en émettant des hmm... hmm... de plaisir avoué. Je suçais, léchais, et suçais encore. Je voulais le faire jouir de ma bouche, espérant secrètement qu’il renoncerait à m’enculer aujourd’hui. Je ne me sentais pas suffisamment "ouvert" et entraîné pour supporter l’entrée de ce monstre dans mon anus, et que dirait de ce plaisir.....(ou de cette douleur) pris sans elle ?
    
    Bachir aussi semblait aimer ça. Il me caressait les cheveux et grognait, ou me complimentait gentiment. Il était doux et c’était rassurant.
    
    — C’est bien mon bébé. Tu suces bien. Mieux qu’une fille. Continue, suce bien......
    
    Il remuait doucement le bassin, essayant par moments de rentrer plus loin dans ma bouche. Je le retenais, car ça ne rentrait pas.
    
    Il prit son sexe en main et me tirant délicatement par les cheveux, il recula ma tête et sortit son gland de ma bouche. Il se mit à le frotter sur mon visage, tapota, lui aussi, mais plus fort que moi, sur mes joues, ma bouche, et même mon front. Le gland, gluant de salive, glissait sur mon visage, et je sortais la langue pour le lécher au passage. J’avais ouvert les yeux, et je voyais le regard sérieux et concentré sur son plaisir, de Bachir. Il se ...
    ... pencha et m’embrassa sur la bouche. Sa langue força mes lèvres et vint me fouiller. Je répondis à son baiser en aspirant sa langue et en la suçant comme un affamé. Je mis toute ma passion dans cet ardent baiser, et tout mon vice aussi. Je suçais cette langue comme si je suçais une bite. Mon sexe dur comme jamais suintait le plaisir en continu. Je "pré-jouissais" sans arrêt ! Si je touchais mon sexe, je risquais d’exploser instantanément.
    
    Bachir interrompit ce long baiser, et toujours penché sur moi, me demanda :
    
    — Tu as fait un lavement toi ?
    
    — Oui !..... Enfin... non, répondis-je. Je me suis juste savonné les fesses et mon petit trou, mais juste à l’entrée.
    
    Il me prit la main et dit :
    
    — Viens, lève-toi ! Va à la salle de bain, et attends-moi.
    
    Lorsque je me levai, il vit que je bandais et me le fit remarquer.
    
    — Ton zob est dur mon chéri, tu aimes ça hein ?
    
    Oui. Répondis-je avant de diriger vers la salle d’eau. Il me caressa les fesses dès que j’eus le dos tourné. Un frisson me traversa.
    
    L’heure de s’occuper de ma virginité anale approchait. J’allais me faire enculer, sûrement me faire éclater le fondement par son énorme matraque, et tout ça sans y être obligé. Je priai les dieux du plaisir qu’il soit doux et me déflore sans me déchirer.
    
    Si vous m’aviez dit ça avant hier, je ne vous aurais pas cru ! 
«12»