Gwendoline et son voisin Franck (6) - Histoires de Sexe

Gwendoline et son voisin Franck (6)

... mon fourreau étroit. Je suis en train de me faire prendre ... il est au fond de moi !

Son pubis écrase mes fesses, je ne sens aucune douleur. Il commence à coulisser avec régularité. Le plaisir est indescriptible. Je fonds littéralement. Pour couronner le tout, il insinue une main au bas de mon ventre et deux doigts me titillent le clitoris. Je ne peux plus résister. Ma jouissance monte de tous mes orifices ... Je jouis de partout. Je m’entends crier de plaisir, comme une biche prise par son cerf au milieu des bois. Un plaisir long, violent, intense. Il ne me lâche pas et continue à me pilonner avant de se bloquer au fond de moi et de se répandre dans mes entrailles !

Il attend un peu puis extirpe son sexe de mon intimité. Je me mets à genoux face à lui et entreprend de lui nettoyer le sexe avec la langue, tout en profitant de cette position pour faire couler son foutre de mon anus.

Après quelques minutes je me redresse et me réajuste pour rejoindre la voiture.

Alors que Franck redémarre, il me demande si cela me dérange si nous faisons un petit détour. En ce début d’automne, les jours ont déjà bien raccourci et la nuit commence à tomber.

Un bon quart d’heure plus tard, nous sommes sur le parking d’un centre commercial qui a fermé ses portes il y a quelques années et où, de manière surprenante, se trouvent plusieurs véhicules et où l’éclairage urbain fonctionne toujours.

Franck s’approche de ces véhicules puis stoppe son moteur. À ce moment, nous sommes ...

... suffisamment près et distinguons clairement ce qui se passe au niveau des véhicules voisins.

Une femme rousse, la trentaine, est en train de s’allonger sur le dos, sur le capot d’une voiture. Un homme lui relève alors la jupe et lui écarte les jambes. Ne portant pas de culotte ou de string, à moins que je n’ai loupé cet épisode, il enfonce son sexe d’une belle taille, gainé d’un préservatif, sans difficulté dans le vagin de la femme. Il se met rapidement à la besogner sans ménagement, la tenant par les hanches, ses jambes sur ses épaules.

Elle accroche de ses mains le capot pour ne pas glisser et, ayant ouvert la vitre de la voiture nous l’entendons gémir à chaque coup de boutoir. Elle ne tarde pas à jouir, d’un orgasme violent. Gémissante, il continue à la pilonner, ramonant, entrant, sortant. Après quelques minutes de ce traitement, il place sa partenaire debout devant la voiture, de dos, devant lui et il l’invite à se pencher en avant, un genou fléchi, le pied sur le pare-choc.

Il l’enfile d’un coup, jusqu’à la garde, et de nouveau se met à la besogner accroché à ses cuisses avec autant d’intensité que dans la position précédente, ramonant, entrant, sortant, jouant avec le point de jouissance que semble déjà de nouveau atteindre la femme.

Après quelques minutes, il cesse son rythme endiablé, pour prendre position, sa queue bien bandée dans la main et la présenter à l’entrée de son petit œillet, orifice sur lequel il presse son gland. Et c’est sans aucun problème ...