1. Une mère pas comme les autres... (30)


    Datte: 05/12/2021, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: AlexisPC, Source: Xstory

    ... chacune, choisis ce statut ! Est-ce clair ? Ou dois-je développer mes arguments ?
    
    Anaïs me regarda bouche-bée tandis que Maman m’observait avec un regard que je ne lui avais que rarement vu. Elle me jaugeait et je suis certain qu’elle venait de revoir son mari défunt en moi !
    
    Comment je le sais ?
    
    Parce qu’elle baissa un peu la tête que je vis un sourire sur son visage en même temps qu’une larme tomber sur sa joue. Elle était heureuse ! Simplement heureuse. Et je l’étais aussi. J’avais gagné. Je venais de faire la preuve de ce qu’elle attendait. Pas simplement que je "joue" à être son Maître. Elle souhaitait vraiment que je le sois, comme son défunt mari l’avait été. Je venais de vraiment comprendre que c’est ce qu’elle cherchait en m’affublant, un peu ridiculement au vu de mon inexpérience, de ce surnom lors des débuts de nos ébats. Elle voulait redevenir soumise à un homme et elle avait décidé, probablement à cause de la filiation naturelle avec mon père, que ce serait moi. Ainsi, je devenais son amant officiel et le décideur de ses mouvements et gestes à venir.
    
    Ma mère et ma fiancée étaient à présent totalement sous mon emprise et cela ne changerait que si je commettais un faux-pas ! Ce qui n’arriverait plus jamais. Car je les aimais toutes les deux du plus profond de mon cœur et rien ni personne ne pourrait à présent me les enlever.
    
    Je tournais la tête vers Manon qui n’avait pas bronché sous mes assauts et qui me regardait avec un air qu’elle n’avait pas ...
    ... dû avoir souvent. Je venais tout simplement de la moucheter. Elle ne savait plus quoi dire. J’en profitais pour prendre l’avantage.
    
    - Bien ! Heureux que tu partages mon point de vue sur ce sujet que je considère dorénavant comme clos de façon définitive. Mais je ne vous ai pas réunie dans ce hall pour discuter de mon statut ou du vôtre. Car avant toute chose, je considère que, si vous m’avez accordé votre pardon pour mon attitude détestable du dernier weekend, je ne l’ai pas encore suffisamment mérité. C’est pourquoi, je compte vous faire deux derniers cadeaux à chacune avant que vous ne m’en fassiez un dernier. Puis nous pourrons renter chez nous, chacun persuadé de son rôle et de sa place.
    
    - Philippe ? Ce n’est…
    
    - Pardon ? Dis-je en coupant la parole à Maman.
    
    - Maître ! Dit-elle en s’excusant. Ce n’est pas la peine de faire cela ! Termina-t-elle en me faisant part de sa pensée.
    
    - J’y tiens ! Plus jamais je ne ferai les erreurs que j’ai commises. Mais je veux un symbole de mon repenti qui puisse à la fois vous servir et vous plaire. J’y ai bien réfléchi et je pense avoir trouvé la solution. Si vous voulez me suivre, je vous emmène vers votre premier présent.
    
    Nous sortîmes de l’hôtel pour aller, à pied, à quelques rues. Nous allions Rue Du Colonel Driant.
    
    En marchant, nous parlions de tout et de rien. Anaïs pendue à mon bras, dont les yeux étaient remplis d’amour et d’un petit quelque chose supplémentaire que j’identifiais comme de la fierté.
    
    Ce n’est ...
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