1. Délicieuse Libertine - 1


    Datte: 05/12/2021, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Tamalou, Source: Hds

    Je suis une fille très active sexuellement depuis l’adolescence. J'ai compris très tôt que certaines parties de mon corps pouvaient me procurer des sensations très agréables. Ma mère m’avait prévenue, de ne jamais fricoter avec les garçons, de ne jamais permettre à un voyou de toucher ces parties de mon corps qui étaient "sacrées".
    
    Au début, ce sont d’autres filles, plus âgées, qui m’ont provoqué mes premiers émois. Des caresses indiscrètes, de la bouche ou des mains, m’ont provoqué de curieux frissons dans le ventre. J’ai réalisé que leurs actions sur certaines parties sensibles de mon corps me procuraient beaucoup de plaisir.
    
    L'humidité de ma chatte m'inquiétait un peu, mais la fille qui léchait ma chatte m’a dit que j’étais délicieuse. Plus tard, lorsque je lui ai rendu la politesse, je me suis aperçue que son goût était mielleux, et je n’ai pas compris pourquoi ma mère avait prétendu que c’était "mal".
    
    Heureusement, j'ai pu parler de ma révélation avec ma sœur aînée. Elle avait déjà eu plusieurs "petits copains", et elle n’était plus vierge depuis longtemps. Elle m’a appris à mes préserver des "accidents" qui empoisonnent la vie de certaines jeunes filles imprudentes. Elle m’a confirmé que le sexe c’était quelque chose d’amusant, à condition de bien choisir son partenaire.
    
    C’est elle qui m’a conseillée pour mon "premier". Elle m’a dit qu’il ne fallait pas offrir mon pucelage à une "brute sauvage", mais à un type "sérieux" qui saurait faire "ça" avec ...
    ... douceur. Elle m’a recommandé un ami de papa, un gars bien plus âgé que moi, et qui avait paraît-il une excellente réputation. Je suis allée chez lui, toute intimidée, mais il a été très gentil, très doux, et j’ai passé un merveilleux moment.
    
    Ensuite, les caresses des filles me paraissaient bien mièvres. La pénétration me procuraient des sensations inégalables, même si certaines utilisaient des jouets en plastique, vibrants ou non, cela n’avait pas la même saveur. Les années de lycée ont passées très vite, j’avais peu de prétendants, quand je sortais un préservatif de mon sac, cela les effrayait.
    
    C’est à l'université que je me suis révélée. J'avais une solide réputation, j’insistais pour que les gars utilisent des caoutchoucs, mais je n’avais pas peur d’en satisfaire plusieurs. Le bouche à oreille a fait son effet, et j’avais beaucoup d’amoureux. Je discutais aussi avec d’autres filles, plus prudes que moi.
    
    L’idée de n’avoir qu’un seul copain, de me préserver pour mon mari, la fidélité, l’abstinence, me filait la gerbe. Elles me traitaient de débauchée, de frivole, de vicieuse, mais la découverte permanente de nouveautés m’excitait tant que je ne pouvais me résoudre à une vie de rosière mal arrosée.
    
    Certaines périodes du mois, lorsque j’étais "indisposée", quelques garçons ne voulaient pas aller dans ma chatte. J’ai découvert, à cette occasion, la "voie de secours". Le plaisir était différent, mais j’ai beaucoup aimé. Depuis, j’ai accepté plusieurs garçons en même ...
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