Un été chez ma tante (1) - Histoires de Sexe

Un été chez ma tante (1)

... partager plein de choses (je commençais à avoir des pensées bien chaudes !!!).

Je me suis mis à l’aise pour ce départ en voiture de 4 à 5 heures, petit short de sport, t-shirt sans manches et claquettes. Ma tante aussi a une de ses robes d’été très confortables et qui laisse apparaître quasiment l’ensemble de ses tatouages.

Au bout d’une heure de voiture, nous tombons dans un embouteillage, de compétition, sur l’autoroute. Mes cousins derrière se sont endormis, et ma tante commence à fulminer :

— Putain de tunnel, c’est à chaque fois la même chose, ces chaussures me font super mal en plus, pfffffff, putaiiiin.

— Hé ben dis donc, t’es pas très patiente toi, dis-je en rigolant.

— Oui, tu as raison ! Désolée.

Je suis subjugué, sur le siège passager, par ses tatouages, mes yeux étaient fixés dessus.

— Hé ben toi en tout cas, je vois que tu profites pour regarder mes tatouages, nous n’en avons jamais parlé, tu les aimes.

— Oui beaucoup, tu as de super idées de tatouage à chaque fois.

— Oh merci mon chéri, lequel est ton préféré ? Moi j’aime beaucoup celui-là en me dégageant un peu la cuisse.

— Oui celui-là est très sympa oui. Mais mon préféré de toujours reste celui sur ton pied.

— Ah bon ???? Celui-là est pourtant tout simple !!

Je rougis un peu

— Oui c’est vrai, mais c’est mon préféré c’est comme ça !!

— Je comprends, tu fais partie de ces jeunes mecs qui aiment les pieds fins de la gent ...

... féminine, je l’avais fait à l’époque pour un ex qui adorait ça...

Cette phrase résonne un moment en moi et je ne sais pas quoi répondre. Elle regarde régulièrement que les deux petits monstres derrière sont toujours endormis....

Une fois ce « putain de tunnel » passé, la route se fait assez rapidement. Nous papotons tout le trajet, elle et moi et nous nous sommes vraiment rapprochés... Les enfants sont alors déposés cher leur père comme prévu.

En sortant de chez lui, quelques larmes coulent sur sa joue. Cela lui fait tout drôle de laisser ses bébés.

Elle se blottit contre moi avant de remonter dans la voiture, je suis dans tous mes états :

— Je vais être honnête, je suis ravie que tu sois avec moi, nous allons bien nous amuser et il va falloir que je profite de leur absence malgré tout...

— Tu as raison, je vais tout faire pour que tu n’y penses pas trop et que ce séjour soit au top !

— Je n’en doute pas mon chéri, dit-elle en m’embrassant sur la joue.

Nous remontons dans la voiture pour la dernière demi-heure de trajet. En arrivant devant la belle villa, elle me dit :

— Ce trajet m’a épuisée, je te montre ta chambre, tu poses tes affaires et on va piquer une tête dans la piscine. Je suis tellement fatiguée, j’ai mal aux pieds et j’ai des courbatures partout... Je commande des pizzas, j’ouvrirai une bonne bouteille puisque j’ai cru comprendre par ton père que pour ton âge tu ne craches pas dessus...