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La mère de mon copain nous rend visite. (3)
Datte: 04/12/2021, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Jimmychou, Source: Xstory
Avec mon chéri Vladimir, nous venons de nous retirer dans la chambre de notre location abandonnant Francine la mère de Vladimir sur le canapé alors qu’elle a commencé à se faire du bien avec son gros godemichet noir. J’attends donc impatiemment que mon homme me prenne avec vigueur car l’échange que nous venons d’avoir avec Fanfan m’a fortement excitée et la raideur de sa belle queue me prouve qu’il est sur la même longueur d’onde que moi. Il faut dire que depuis que Francine a sonné à la porte de l’appartement il y a un peu plus de quatre heures, elle a mis un sacré désordre dans ma tête. J’ai certes appris des choses qui m’ont laissée sur le cul mais j’ai aussi beaucoup mouillé. Je me trouve donc à quatre pattes sur le grand lit de la chambre, le derrière tourné vers la belle queue tendue de Vladimir, attendant toute emoustillée qu’il daigne l’enfoncer au plus profond de mon intimité. Mais visiblement ce coquin a une autre idée en tête et je m’en rends compte quand je sens son gros gland turgescent se présenter à l’entrée de mon petit trou. Il se trouve que jusqu’à ce jour, Vladimir ne m’a encore jamais honoré par là et vu la taille de la tête violacée de son champignon, je ne suis pas certaine que ce soit une bonne idée de commencer aujourd’hui. — Que fais tu mon chéri? je lui demande. Tu n’as quand même pas l’intention de faire passer ton gros machin par ma petite porte. Sa réponse me sidère. -Pourquoi tu préfères que j’aille planter ma queue dans ...
... le beau cul de Fanfan ? Elle n’attend que ça comme tu as dû l’entendre tout à l’heure. — C’est méchant ce que tu viens de me dire... J’ajoute vexée en me redressant d’un coup et en me tournant face à Vladimir. Il attrape alors mes mains et me tire vers lui approchant mon visage du sien avant de plaquer ses lèvres contre les miennes et de m’embrasser à pleine bouche. Je ne résiste pas longtemps et je lui offre ma langue pour une sarabande improvisée. Tandis que Vladimir continue à me rouler une pelle magistrale, je me laisse tomber en arrière allongeant et écartant mes jambes pour qu’il s’affale sur mon corps. Une fois qu’il est couché sur moi, j’enroule mes jambes autour de sa taille. Vaincu, il se résoud à introduire son brugnon gonflé de désir dans ma chatte brûlante puis d’un coup de reins puissant s’enfonce jusqu’au fond de mon fourreau m’arrachant un miaulement de contentement. Je l’implore alors de labourer mon con telle une femelle en chaleur réclamant la saillie à son étalon. Je constate vite que mes propos font leur effet car Vladimir ne tarde pas à me secouer comme un vulgaire chiffon m’emmenant peu à peu vers une jouissance que je pressens particulièrement intense. Lorsqu’il vide enfin en moi les quelques gouttes de jus qu’il lui reste après toutes ses éjaculations de la journée, je ne peux retenir un hurlement de plaisir qui doit s’entendre à plusieurs jusqu’au dernier étage de l’immeuble. Il faut une bonne minute pour que nos battements de ...