1. Méchant Tonton


    Datte: 07/08/2018, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bymerrymerry, Source: Literotica

    ... comparable à l'ennui que nous aurons de l'avoir chez nous!!!
    
    Quoi, voulait- il tout annuler maintenant? Ce n'était pas possible, quelle blague cruelle! Je devrais donc me résoudre à placer maman? Jamais! Mais que faire?
    
    - C'est simple, puisque tu ne peux payer en espèces tu payeras en nature. Depuis que
    
    je te connais, depuis que j'ai vu ta bouche de suceuse, j'ai envie de te baiser, et maintenant tu vas être à moi.
    
    - Ce chantage est immonde, vieux porc!
    
    - Encore un mot comme celui-là et ta mère prend la porte, petite garce. Je te veux soumise et respectueuse, tu n'as pas intérêt à broncher, est-ce clair?
    
    En un instant, ma vie venait de basculer, j'étais forcée de me soumettre aux désirs de
    
    cet homme vieillissant, de ce monstre aux cheveux gris, au regard pervers.
    
    - Oui, mon oncle.
    
    - C'est bien petite salope. Maintenant, je veux que tu te lèves, que tu baisses ton slip et que tu me montres ta chatte. Dépêche- toi.
    
    Les larmes me montant, aux yeux, je ne pus faire autrement que m'exécuter, et je dus,
    
    sous son regard impérieux, refouler ma honte. Je soulevai donc ma jupe et la retins d'une main tandis que l'autre faisait tant bien que mal glisser mon slip de coton blanc sur mes chevilles, puis sur le sol. Au moment d'écarter les cuisses pour faire ce qu'il me commandait, je sentis un léger tiraillement agacer mon bas ventre. Je restai là, mortifiée, les jambes écartées, attendant son bon plaisir. Je commençais à mouiller.
    
    - Bonne petite. ...
    ... Maintenant, prends le stylo, devant toi , sur le bureau. Je veux te voir te
    
    branler avec.
    
    J'hésitais. Ses yeux me scrutaient. Je pris le stylo et l'insinuai en moi. Son contact
    
    froid m'électrisa. Il pénétra sans difficulté.
    
    - Plus fort!
    
    Je fermai les yeux. J'avais oublié mon oncle, ses chantages, l'humiliation. Rien ne
    
    comptait plus au monde que ce petit cylindre métallique. Je serrai ma chatte le plus
    
    possible pour amplifier les sensations. Le mari de ma tante vint se placer à mes côtés, passa les mains son mon t-shirt et caressa ma poitrine par dessus mon soutien-gorge. C'était
    
    délicieux. Mon ventre brûlait, j'adorais ça. Tout à coup, il pinça mes tétons, j'ouvris les yeux et laissai tomber le stylo.
    
    - C'est bien ce que je pensais, tu n'es qu'une femelle en chaleur, mais sache que
    
    désormais tu ne jouiras plus que par moi. Tu vas devenir mon esclave, toujours affamée de sexe, avide de jouissance, je vais te dresser. Maintenant que tu sais que tu es une chienne, à 4 pattes, ramasse ce stylo avec tes lèvres et viens me l'apporter!
    
    Je fis ce qu'il m'ordonnait, déjà sous sa coupe. Je savais désormais que, quoiqu'il m'ordonnerait, j'accepterais. Mon oncle prit le stylo et me le fit lécher :
    
    - Entraîne-toi, je veux entendre tes lapements, suce-bien, tu adores ça, traînée. Tu n'es qu'une pute vulgaire, répugnante.
    
    Je suçais son stylo, m'appliquant à émettre le plus de bruits possibles, un désir toujours plus exigeant croissant entre mes cuisses, ...