Les Rêves de John (1) - Histoires de Sexe

Les Rêves de John (1)

Ce qui va suivre tient du domaine de l’onirique, du récit élaboré et remanié de ce que j’ai pu rêver à propos d’Aurélia au cours de ces dernières années. Cela pourra vous paraître fou ou grotesque, mais je trouvais intéressant de partager ces quelques rêves singuliers avec vous tous.

Cette histoire sera composée de chapitres anthologiques donc et ne nécessite pas d’avoir déjà lu les précédents pour comprendre ce qu’il se passe.

Bonne lecture.

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Tout se passe dans un grand espace aux murs hauts et couverts de tenture aux couleurs chaudes, mais juste assez éclairés pour que cela ne fasse pas tape-à-l’œil. L’ambiance est tamisée et Aurélia fait son entrée.

Elle est tout simplement magnifique, ses courbes généreuses et profilées flattent le regard qui peut se poser dessus. Ces dernières sont rehaussées par des talons hauts qu’elle porte fièrement tout en arborant un air supérieur qui ne saurait que vous pousser à lui accorder tout ce qu’elle pourrait demander. Elle porte une parure dorée qui dissimule sa poitrine et son sexe à la vue, comme une enchanteresse exotique, oscillant et dévoilant par moments les délices qui se cachent derrière.

Je m’approche d’elle et parcours rapidement son corps avec mes mains avant de la saisir à la gorge avec force et lui apposer sur les yeux un masque afin de la plonger dans le noir. Elle ne sait pas encore ce qui l’attend, mais elle serait bientôt l’une des femmes les plus abusées qui puissent être.

Je lui ...

... arrache ses bijoux cachant ses atouts poussant aux vices avant de la jeter à genoux à mes pieds, d’empoigner sa crinière ébène et de porter ses lèvres au niveau de mon entrejambe bombé. Elle sait parfaitement ce qu’elle a à faire et ne se fait pas prier pour sustenter sa faim terrible en utilisant ses doigts fins et habiles pour sortir, ce qui la contentera.

Telle une diablesse voulant à tout prix reprendre le contrôle, elle enfourne dans sa bouche cette verge turgescente qui s’offre à elle. Je la sens l’enserrer de sa langue, cette derrière si douce, humide et chaude qu’elle me fait un bien fou lorsqu’elle titille la couronne comme la fente de ce gland gonflant sous ses coups terribles.

Je ne me saisis que davantage de sa chevelure et de sa tête pour empaler celle-ci de plus en plus, lui écartant les mâchoires à un niveau qu’elle ne soupçonnait sans doute pas comme étant possible. Ses lèvres atteignent finalement le terminus de leur voyage et je l’entends presque suffoquer. Je la relâche de mon emprise sur elle et je la vois se retirer d’un coup, de longs filets de baves coulant de sa bouche avant qu’elle se jette à nouveau dessus, comme si cela n’avait fait que l’affamer davantage.

Elle met tant d’ardeur à l’ouvrage, sa tête accompagnant un mouvement de va-et-vient avec sa main ferme tout en pompant que je ne tarde pas à sentir mon gland plus à l’étroit dans sa bouche. J’entre dans un léger état second alors que mon sexe entre dans une forme de convulsion en elle, lui ...