1. Déchéance et rédemption (28)


    Datte: 03/12/2021, Catégories: Gay Auteur: simson3, Source: Xstory

    ... par la femme-médecin.
    
    - Prenez une grande respiration, Monsieur Durocher. Encore. Encore.
    
    Alicia replaça son stéthoscope autour du cou et s’attarda aux ganglions du cou et des aisselles.
    
    - Pas de douleur, de point sensible? L’appétit est bon? Le sommeil, ça va?
    
    La femme se retourna afin de saisir un appareil de mesure. C’est alors qu’elle sentit une main s’infiltrer sous sa jupe, se glisser dans sa culotte et se mettre à lui peloter les fesses.
    
    - Monsieur Durocher, mais qu’est-ce que vous faites là!? s’opposa avec indignation la fille devant celui qui retira aussitôt la main.
    
    - Je... Je suis désolé, Alicia. C’est... C’était pas voulu. En fait, c’était plus fort que moi.
    
    - Pourquoi vous m’avez fait ça, à moi, votre belle-fille? répondit celle qui oscillait entre la surprise et la colère.
    
    - Ce sont... mes ’traitements’ en prison. C’est ce qu’ils m’ont fait subir. J’ai développé une libido extrêmement impérieuse à cause de cela lors de mon incarcération.
    
    Il ajouta, avant d’éclater en sanglots devant la femme:
    
    - Et j’ai maintenant toutes les peines du monde à me contrôler!
    
    Manifestant un début de compréhension et de compassion, Alicia prit place sur le lit à côté de l’homme assis dont elle couvrit les parties intimes d’une serviette de bain.
    
    - Racontez-moi tout, Monsieur Durocher, demanda-t-elle d’une voix douce. C’est de cette façon que vous nous aiderez à vous aider.
    
    - On a procédé à des expériences sur moi, commença l’autre. Des ...
    ... expériences à caractère sexuel. Mais rassure-toi, Ali: ils ne m’ont pas fait souffrir, du moins pas physiquement. Ça se passait plutôt dans la tête. Un jour on m’a conduit dans une petite pièce. On m’a dénudé puis assis sur un petit banc auquel on me fixa ensuite bras et jambes pour m’empêcher de bouger. Trois jeunes femmes se présentèrent ensuite à moi. Toutes de belles Chinoises, pas plus que vingt-deux ou vingt-cinq ans. Sans dire un seul mot, elles se mirent lentement à faire le tour du siège sur lequel on m’avait installé, toute souriantes, un aguichant regard dans les yeux.
    
    Jérôme ferma les yeux, soupira et reprit:
    
    - Un à un et toujours en circulant autour de moi, elles retirèrent tous leurs vêtements, incluant leurs affriolantes petites culottes et leurs soutifs de dentelle. Quant à moi, assis sur le siège de bois, je bandais comme un taureau, les filles étaient si désirables! C’est par la suite que le tout se corsa. Une des Chinoises approcha sa jolie poitrine de mon visage suffisamment pour que je puisse, seulement du bout de la langue cependant, chatouiller ses petits tétons. Je commençais à gémir et à demander à la fille de s’offrir davantage à moi, afin que je puisse pleinement entourer de mes lèvres ces mamelons tièdes, que je puisse goûter sans gêne aucune à ces petits nichons qui semblaient ne demander que ça! C’était peine perdue. Au moment où le meilleur arrivait, l’ingénue se retirait hors de portée, me laissant sur mon appétit. Mon pénis était dur comme fer, ...
«1234...7»