1. J'étais Elise, je suis maintenant Léo ! (3)


    Datte: 03/12/2021, Catégories: Transexuels Auteur: Robin3538, Source: Xstory

    ... continuer de gonfler entre mes mains. L’ivresse du moment passée, je me fige brutalement sur place, incapable de dire ce qui m’a poussé à faire ça ! Je réalise d’un coup que la situation m’a excité aussi, être ainsi en position de force… Je serre un peu plus sa bite et la caresse légèrement, savourant le contact de son sexe que je découvre étrangement attirant.
    
    — A-arrête… Qu’est-ce que tu fais ?
    
    Même en y réfléchissant, je n’en sais rien, je serais incapable de répondre à la question de Maxime ! Nos regards se croisent et brutalement je suis dans ses bras et nous nous embrassons. Je n’y comprends rien, mais nos langues se rencontrent dans un baiser fougueux et intense. Jamais encore je n’avais trouvé Maxime attirant, mais je dois bien reconnaître qu’il est loin d’être laid. Je garde tout de même les yeux clos pour éviter de le regarder alors que je continue à caresser son sexe et qu’il glisse ses mains sur mes fesses…
    
    — N-non-stop ! Dit-il subitement en s’écartant un peu, mais sans pour autant retirer sa bite de mes doigts.
    
    — Pourquoi ? Ça a l’air de te plaire…
    
    Maxime s’apprête à dire quelque chose, mais se coupe subitement alors qu’un petit gémissement lui échappe. Puis soudain, un bruit nous fait sursauter tous les deux et un vent de panique nous traverse alors que nous imaginons déjà quelqu’un nous trouver dans cette situation… Nous nous agitons d’un coup comme des poulets sans tête et avant même d’avoir réalisé, nous nous sommes tous deux enfermés dans un ...
    ... cabinet de WC, collés l’un à l’autre par le manque de place ! Chacun l’oreille tendue, nous attendons de savoir si quelqu’un va bien rentrer, tandis que la bite dressée de Maxime est toujours à l’air libre, pressée contre mon ventre…
    
    Finalement nous entendons une porte s’ouvrir et un groupe d’au moins trois mecs entrent dans les toilettes et parlent bruyamment entre eux. Je me sens devenir livide et je devine qu’il en va de même pour Maxime qui doit craindre tout autant que moi que quelqu’un n’aperçoive nos pieds en regardant sous la porte de la cabine. Nous demeurons donc figés, collés l’un à l’autre, à travers mon tee-shirt, je sens le sexe de mon collègue de promo palpiter doucement, toujours aussi dur, tandis qu’une moiteur semble s’installer entre mes jambes. Peu à peu, les voix s’éloignent et nous entendons les robinets couler, à ce moment-là, mon regard croise celui de Maxime et nous nous contemplons dans le blanc des yeux. Je ne parviens pas à me détourner, j’observe la peur dans ses prunelles, mais aussi le désir sauvage qui l’habite.
    
    Il faut avouer qu’il n’est pas si mal avec son visage un peu carré mais élégant, ses grands yeux noisette et sa barbe finement sculptée pour suivre les contours de sa mâchoire et de sa bouche. Ses cheveux châtains mi longs lui donnent un côté un peu efféminé, mais surtout très séduisant car sa coupe adoucit considérablement ses traits.
    
    Alors que les mecs chahutent entre eux à l’entrée des toilettes, nos visages se rapprochent ...
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