1. Mariage Kabyle (2)


    Datte: 02/12/2021, Catégories: Gay Auteur: Calinchaud, Source: Xstory

    Petit rappel : invité en Kabylie par mon neveu d’adoption, Réda, pour deux mariages dans sa famille, j’ai été logé chez un de ses oncles ou cousin, monstre de virilité, poilu de partout comme un singe et doté d’un membre d’une taille, alors encore inconnue pour moi, en bref... Tout ce que j’adore.
    
    Omar était parvenu à introduire son gland monstrueux dans moi, ainsi qu’un bon tiers de sa bite. Même s’il m’excitait comme un fou, même si je me sentais ouvert complètement, j’avoue que je bloquais un peu. Il faut dire aussi que ma chatte, pourtant bien souple et habituée à de fortes intrusions régulières, n’avait pas été visitée depuis ma rupture avec Ilyas, datant de quelques mois déjà.
    
    Avec ce monstre, j’avais l’impression de perdre à nouveau mon pucelage, alors que j’avais été décapsulée depuis belle lurette et j’ai toujours donné mes orifices facilement aux hommes, seul ou à plusieurs, en partouze, en double pénétration aussi, sauf quand j’étais en relation sérieuse, où là, je suis d’une fidélité exemplaire. Je ne couche jamais avec un autre mec que le mien, sauf s’il me le demande, ce dont mon ex, au Maroc, ne se privait pas, adorant la double aussi.
    
    Omar a très vite compris que même si je ressentais un plaisir intense, j’avais quand même du mal à encaisser sa poutre en entier, il était habitué à ça, peu de personnes, hommes ou plus rarement des femmes avaient pu le supporter, ce qu’il m’a avoué après.
    
    Mais j’en avais trop envie... D’abord, de lui, et ...
    ... surtout, trop besoin de me faire baiser, que ma chatte retrouve sa fonction normale, c’est-à-dire d’être pénétrée. Il est ressorti de moi, a copieusement réenduit mon œillet de vaseline ainsi que sur son membre, en collant mes narines sur les poils de son torse, dont les effluves étaient bien plus efficaces que du Poppers.
    
    Son nœud s’est de nouveau rapproché de mes lèvres anales, les caressant, les frottant et la nature ayant repris ses droits, elles se sont ouvertes à nouveau, comme une fleur de tournesol au soleil.
    
    Il a pu s’introduire dans mon antre, lentement mais sûrement, jusqu’à ce que je sente ses formidables couilles me taper sur les fesses. Il était enfin en moi en totalité, mes mains ancrées sur ses fesses fermes et noires de poils si doux, appuyant à fond pour ne pas perdre le moindre millimètre de ce fabuleux sceptre.
    
    J’étais comblé... Enfin, je retrouvais la puissance d’un homme, qui, une fois la place bien prise, me labourait à grands coups. Tout mon corps n’était que plaisir, je dodelinais de la tête en marmonnant sous ses assauts puissants. Je l’ai senti se tendre, et déverser en moi toute sa jouissance, des longs jets de cette merveilleuse semence masculine qui ne semblaient pas se tarir, cherchant à aller toujours plus profond. Après ce fabuleux coït, je m’étais un peu relâché, mais pas lui... Son sexe conservait toute sa vigueur, et c’est à 4 pattes qu’il m’a encore possédée, avec davantage de force, comme un mâle inassouvi de plaisir depuis une ...
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