Mes rêves se réalisent (3)
Datte: 07/08/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: airdepanache, Source: Xstory
... longtemps.
<i>Dans mon rêve, je porte des bas-résilles, une toute petite jupe de cuir et un collier de chienne. Je suis très vulgaire. Ça me plaît.
Laurent est dans ma chambre. Il a un chapeau de feutre sur ma tête. Il me dit qu’il va me vendre à ses amis. Je comprends que je suis une pute. Sa pute. L’idée m’excite.
Bientôt la pièce est envahie d’hommes nus qui portent des cagoules. Ils font la file pour me baiser. Je les prends en bouche, en chatte, en cul. Mon homme empoche des billets chaque fois qu’un mec me prend.
Un des hommes dans la file est Nicolas. Je le reconnais malgré son masque. Je ne dis rien à Laurent et je laisse Nico me baiser. Pour lui, je crie, je gémis.
Quand il a fini son affaire, je dis à Laurent que pour celui-ci, c’était gratuit.</i>
Le matin quand je me réveille, je suis seule dans le lit. Après l’intimité de la veille, ça me fait tout bizarre de ne pas sentir un corps contre le mien...
Laurent et Nicolas ne sont plus là, mais je les entends plaisanter dans la cuisine. J’enfile en vitesse un petit peignoir de satin, je descends les marches quatre à quatre et je les vois tous les deux, nus, en train de s’embrasser sur la bouche. Leurs langues se mélangent avec appétit et ce baiser les fait tous les deux bander.
Je profite du spectacle pendant un moment, jusqu’à ce que Laurent me remarque. Il rougit :
« Oh, Mélissa, tu es là... On était... euh... on était juste en train de voir... »
« J’étais en train de rouler un patin à ...
... ton mec », dit alors Nico en souriant. « Il embrasse bien, le con ! »
Ça nous fait rire tous les trois. J’embrasse Laurent sur la bouche pour lui dire bonjour, puis j’embrasse aussi mon frère. C’est comme si entre nous trois, il n’existait plus aucune barrière.
Nous nous asseyons et petit-déjeunons tous ensemble.
Nicolas me dit :
« Hé ! C’est pas juste. Tu es habillée alors que nous sommes nus ? »
Je grimace et me lève, je laisse tomber mon peignoir sur le carrelage :
« Mais quel enfant ! Voilà, ça te va comme ça ? »
Laurent rit, Nico et moi partageons un regard puis nous sautons sur Laurent, et le plaquons au plancher. On se marre comme des gamins, même si je vois bien que la proximité des corps suffit à déclencher une belle érection chez les deux garçons.
Après un petit match de catch improvisé, on se relève et on continue le repas.
« Nico, je suis vraiment heureuse que tu sois à la maison. Tu passeras voir papa ? Et maman ? »
Il sourit : « Je ne veux pas qu’ils sachent que je suis ici. Surtout maman. Elle irait me faire la morale alors que... »
Je contourne la table et embrasse mon frère sur la bouche :
« Ne t’inquiète pas Nico. Ils ne sauront rien. Je te le promets. »
Il me sourit. Je vais m’asseoir sur les genoux de mon petit ami, je l’embrasse et lui dis dans son oreille :
« Je t’aime. »
Il n’en faut pas plus pour faire grossir son sexe. Je prends celui-ci dans ma main et je le masturbe tout doucement, pleine d’amour. En face ...