Aym-Rick (18) - Histoires de Sexe

Aym-Rick (18)

... là !

- Ce n’est pas un mythe selon lequel les hommes noirs ont d’immenses chibres !

- J’en suis la preuve vivante ! Elle est si épaisse que j’ai besoin de la tenir à deux mains pour aller pisser. Bon allez ! Assez parler ma jolie... Tu es là pour goûter au plat typique de la Côte d’Ivoire !

Je m’exécute et pose délicatement mes lèvres sur son gland que je sens grossir encore plus, son bangala a un très bon goût, il sent les épices aux vertus aphrodisiaques. J’insère avec une grande difficulté son boudin noir, j’essaie d’ouvrir du mieux que je peux ma bouche, mais son membre est vraiment hors-norme. Difficilement, je le tète, lèche le pourtour, et le pompe maladroitement, car son engin colossal me remplit entièrement la cavité buccale. D’un coup, je ressens ses mains sur ma tête et il commence à me défoncer littéralement la mâchoire avec son monstre de chair, en altérant avec quelques crachats sur le visage en visant ma bouche. Oh putain, ça m’excite grave ! Je suis sa chienne et cela ne me déplaît pas, je me sens si bien avec son imposante matraque dans la gueule, satisfait de lui apporter du plaisir. Je ressens des palpitations le long de sa tige et de ses belles grosses couilles que je caresse consciencieusement.

Sa respiration s’accélère et ses râles de plaisir se joignent aux miens. Après plusieurs minutes, il se retire de mon gosier. Il est au bord de l’explosion, transpirant comme un bœuf. Il dégage une forte odeur animale. Mmhhh.

- Eh bé ! Tu m’avais ...

... caché ça que tu suces comme une déesse ! Maintenant, on va voir si tu es aussi habile avec ta chatte qu’avec ta bouche de salope !

Oh Doux Jésus ! Rien qu’à l’idée de me prendre son énorme anaconda dans le cul, j’en ai déjà mal. Mais il m’hypnotise, je suis sous son emprise. Ne voyant aucune réaction de ma part, il me pousse sur le fauteuil, je me retrouve sur le dos, il me retire mon string et écarte mes jambes. J’expose avec excitation mon anus face à lui, il crache un gros mollard sur mon fion et tente de rentrer un doigt dedans. Il réussit à l’introduire facilement, puis il rentre un deuxième et commence à faire des va-et-vient rapides avec ses gros doigts. Je suis tout feu tout flamme. Quand soudain, il les retire, et se dirige vers son pantalon. Il récupère un préservatif, le glisse sur son arbre de vie et s’approche en direction de ma rondelle. Il crache dans ses mains et se met à enduire son tuyau de salive. Je sens son gland chaud à l’entrée de ma grotte qui tente de me pénétrer, ce qu’il réussit en forçant légèrement. Son zgueg écarte mon orifice et s’insinue en moi.

J’ai l’impression que l’on m’ouvre l’abricot en deux. Je pousse un cri de douleur et me redresse pour soulager le mal qui se développe dans mon corps.

- T’a pas fini de gueuler, ce n’est que le début petite pucelle ! dit-il en rigolant.

J’ai la sensation qu’un fer porté au rouge est planté au fond de mes entrailles. Je serre les dents pour ne pas crier. Des petites larmes coulent sur mes joues. ...