1. La pièce rapportée (3)


    Datte: 02/12/2021, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: AmauryL, Source: Xstory

    ... de son mari et la serra étrangement fort.
    
    Lionel, son mari et père de Lilly, entendait lui aussi ces bruits obscènes. Il avait les tempes en feu. Lui aussi, des images lui venaient à l’esprit. Des images et des mots, des mots vulgaires que jamais un père ne devrait associer à sa fille. Des images et des mots qui le mettaient mal à l’aise autant qu’ils l’excitaient. Car oui, excité il l’était. Son érection ne lui permettait plus de nier cette évidence embarrassante. Il bandait et avait furieusement envie de se saisir de sa bite et de se branler comme un porc en écoutant sa fille chérie prendre son pied.
    
    La façon qu’avait eu sa femme de se saisir de sa main et de la serrer fort, il la connaissait bien : elle le faisait parfois quand ils faisaient l’amour et qu’elle était proche de l’orgasme. "Ça t’excite?" lui demanda-t-il à mi voix. Le regard vide, tremblante, la bouche entrouverte, Laurence était trop proche de la jouissance pour parler. Se sentant comme une mère indigne prise en flagrant délit d’indignité, elle baissa les yeux et serra encore davantage la main de son mari, en continuant à contracter ses cuisses contre son vagin à un rythme calqué sur les couinements de Lilly.
    
    Lionel craqua. Il recula sa chaise, se leva et sortit sa grosse bite sous le nez de sa femme. Il posa sa main gauche sur l’arrière de la tête de sa femme et l’approcha de son membre. De son autre main il agrippa sa queue et colla son gland contre sa bouche. Il appuya. Elle écarta les lèvres ...
    ... et le laissa coulisser en elle. Il s’enfonça lentement dans sa bouche. Il prit sa tête à deux mains, allant et venant en elle comme si c’était une poupée gonflable. Laurence glissa une main entre ses cuisses et commença à se branler le clito en se faisant baiser la bouche. Elle jouit, la bite de son mari étouffant ses cris.
    
    Amaury redoubla d’énergie, il défonça brutalement la frêle Lilly, dont les gémissements étaient remplacés par des petits cris de moins en moins contenus. Elle perdit peu à peu le contrôle de son corps, son bassin était comme animé d’une vie propre, indépendant de sa volonté. Il bougeait violement vers la bite d’Amaury, accompagnant ses coups de reins. C’était le visage grimaçant d’une petite jouisseuse qui se reflétait désormais dans le miroir au dessus du lavabo, mais d’une grimace pleine de beauté. Son vagin se contracta fortement sur le sexe de son amant. L’orgasme fût violent, elle cria son plaisir en projetant son petit cul vers l’arrière, pour enfoncer cette queue qu’elle aimait tant le plus profond possible en elle.
    
    C’en était trop pour Amaury, qui déchargea à grandes giclées au fond de sa chatte, accompagnées d’un râle particulièrement sonore. Son râle couvrit celui de Lionel, qui au même moment éjacula dans la bouche de la maman de Lilly. Les yeux fermés, il pensait à sa fille, à son corps nu, à la position qui peut-être était la sienne, à la tête qu’elle devait faire quand elle jouissait. Giclée après giclée, le foutre du papa s’accumulait ...