COLLECTION VENGEANCE. L’île de ma soumission (1/3)
Datte: 07/08/2018,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... chiffres ronds, 52 kilos, soit 30 kilos à 2 000 €, maîtresse Océane, 60 000 €, je vais te les faire porter.
• Attends Louis, ça va douiller plus que cela, quand ta salope, ma chienne, aura retrouvé son poids de forme, il faudra faire de la chirurgie esthétique, tablier et seins qui vont tomber jusqu’à son nombril.
10 et 10 de plus, total 80 000 € pour retrouver ta femme d’avant.
• Maîtresse Océane, si tu y arrives, je te donnerais une prime de 20 000 €, 100 000 € au total, je serais gagnant surtout si elle devient ma vide couille, mais là, je te laisse lui expliquer comment tout cela va se passer pour elle.
• J'accepte ce prix, je vais couvrir nos charges, je t’offre la coiffure que je devrais lui faire pour te la rendre présentable, allez messieurs, chargez là dans le van avec les deux autres, direction le bateau, mon île m’attend.
Je suis poussée vers la sortie par les pieds des deux gorilles qui semblent être la protection de cette femme, devant le garage, une camionnette assez grande est là, une cage est ouverte.
• Monte, dépêche-toi, chienne Dolly, pour les noms de mes nouveaux toutous, ce sont les D cette année, rejoints Daisy et Dido mon nouveau mâle.
Je monte dans la cage, la porte se referme, j’ai le temps de voir une femme dans une cage voisine aussi nue que moi, une vingtaine d’années, je me retrouve dans le noir.
• Qui es-tu ?
• No French, angliche !
J’entame une conversation en anglais, j’ai le temps de dire, c’est quelques mots, ...
... une décharge électrique, me cloue en deux.
• Fermez vos gueules, interdiction de parler.
La phrase est aussi donnée en anglais et une langue inconnue, plutôt du Slave, je comprends que les cages sont reliées à un système électrique, maîtresse Océane doit avoir un bouton qu’elle pousse pour nous envoyer des décharges.
Nous roulons, nous arrêtons, roulons, arrêtons, ou nous conduit-on, vers un bateau genre cargo, je le vois quand la porte est ouverte, il fait nuit, les gorilles attrapent nos cages comme s’il s’agissait de plumes.
En plus de l’Anglaise, il y a un homme dans le troisième, il a une vingtaine d’années, je sais pourquoi je suis là, mon mari m’a pour ainsi dire vendue à cette femme pour que je perde du poids.
Des crochets sont accrochés aux coins des cages, une grue immense les soulève, nous soulevant en même temps, j’ai la peur de ma vie, lorsque je regarde vers le bas, je vois le trou noir d’une cale où nous sommes déposées.
Nos trois cages sont arrimées, un temps d’attente, le bateau vibre, nous devons quitter le quai, un temps plus tard, maîtresse Océane arrive toujours, flanquer de ses deux sbires.
• Nous allons profiter de la traversée pour vous apprendre les règles de votre nouvelle vie.
L’Anglaise prend la parole, je comprends qu’elle est offusquée du sort que l’on lui fait subir.
• Messieurs, sortez Dido de sa cage et faite lui voir comment je traite mes toutous quand ils sont impertinents.
À travers les barreaux de la mienne, je ...