Olivier s'abandonne (1) - Histoires de Sexe

Olivier s'abandonne (1)

Il s’est approché de moi avec son regard si particulier. Il me regardait déjà avec insistance depuis le fond du car. J’avais décidé de partir, de m’éloigner de ceux qui m’empêchaient d’être moi même. Lui savait, lui connaissait ce que je ressentais, ce dont j’avais besoin sans même m’avoir adressé la parole. Ma voisine s’était levée pour changer de place, sans doute gênée par ce à quoi j’aspirais, ce qu’elle semblait avoir deviné. Il en profita immédiatement pour se lever et s’asseoir à mes côtés. Mon cœur battait à tout rompre. Ma respiration trahissant mon émoi. Je commençais même à trembler. Je me mis à battre la mesure avec mes pieds, les dégageant de mes espadrilles, pour essayer de dissimuler ma nervosité tellement visible. Son regard lourd de sens me transperçait et commençait à faire mouiller mon cul. Depuis mon plus jeune âge, mon cul me fascinait.

Pour "son" comportement pas du tout anodin, pour les émotions qu’il me générait... j’avais littéralement le feu au cul depuis ma plus tendre enfance !...

J’ai bien sûr cherché à comprendre pourquoi afin de tenter de me contrôler, puis finalement j’ai lâché prise et me suis laissé à m’aimer ainsi...

Je ne me suis jamais senti homosexuel, j’ai adoré rencontrer des femmes qui aimaient et profitaient de ma singularité. Des femmes phalliques comme on dit. Je perds la tête quand je rencontre quelqu’un qui jouit à profiter de moi. J’insiste sur profiter, parce que je suis 100% passif et je m’abandonne absolument au ...

... désir de l’autre. Je n’ai quasiment jamais d’érection, mais j’éjacule ou plutôt je coule avec mon petit robinet, je jouis de la prostate, sans bander. Bien sûr et surtout quand je me fais baiser. Plus je me fais défoncer le cul et plus je jouis. Du cul, mais aussi de tout le corps. L’orgasme anal me procure des sensations qui vont bien au-delà de l’orgasme. C’est une extase formidable qui m’envahit et me transporte ailleurs. Dans un monde où l’on ne me juge pas et où on me laisse être heureux comme je suis. L’autre merveilleuse zone érogène de mon corps, ce sont mes tétons. Il me suffit de les frôler pour allumer ma volupté et me faire basculer.

Tripotez-moi les tétons et je ferai tout ce que vous voudrez, mon corps et ma volonté vous appartiennent.

Et très justement, mon nouveau compagnon de voyage dans ce car pratiquement plein l’avait bien compris. Sans aucune gêne il me salua et passa immédiatement sur bras gauche autour de ma frêle épaule et laissa choir sa main en face de ma maigre poitrine, décrivant lentement des cercles avec ses doigts autour de mon téton qui pointa aussitôt, dévoilant de manière obscène son désir d’être maltraité. Je ne pus m’empêcher de laisser échapper un gémissement en tournant mon visage vers lui, le priant d’un regard instantanément amoureux de pousser plus en avant son infraction. Il me sourit alors et passe sa main dans l’échancrure de mon T-shirt, glisse ses doigts sous mon aisselle afin de goûter à mon odeur... retire sa main et renifle ...