Des chemins inexplorés
Datte: 30/11/2021,
Catégories:
fh,
fhh,
fplusag,
jeunes,
extraoffre,
vacances,
bus,
hsoumis,
facial,
Oral
pénétratio,
init,
prememois,
Auteur: Hisoka02, Source: Revebebe
... résistance.
Jean n’était pas un novice dans l’art du baiser, mais l’interdit dont était teintée chacune de ses étreintes avec la femme de Pascal lui enlevait toute assurance, toute sérénité. D’autant plus que le conjoint n’était qu’à quelques mètres de lui.
La voix de Pascal annonçant qu’il avançait vers le camion acheva d’ailleurs d’exacerber ce sentiment curieux de faute, même s’il avait gardé à l’esprit les sensations qu’il avait ressenties lorsqu’Ève et son mari lui avaient offert son plaisir le matin même. Il sentit la nervosité le gagner et durant un instant se trouva comme perdu en lui-même.
Cependant Ève ne l’entendait pas ainsi et le ramena bien vite à la réalité.
— Qu’est-ce qu’il t’arrive Jean ? lui demanda-t-elle d’une moue déçue. Tu as oublié que tu es à moi ? Je veux que tu t’occupes de moi maintenant. Embrasse-moi. Je veux sentir tes mains sur mon corps.
— Oui, mais Pascal… répondit Jean.
— Ne t’en fais pas, le coupa-t-elle. Nous le rejoindrons après, mais pour le moment je te veux avec moi ici et maintenant. J’ai envie que tu t’occupes de moi. Alors, caresse-moi, et embrasse-moi maintenant ! exigea-t-elle.
Ne pouvant que répondre à cet ordre, Jean s’exécuta et s’abandonna à nouveau dans un long baiser. Il se sentait toujours aussi intimidé, aussi dénué de pensées qu’un instant auparavant, mais il avait cependant laissé la volonté de la belle prendre le dessus sur lui. Il ne voulait que satisfaire ses attentes sans désirer autre chose, sans ...
... intentions ou envies. Seul comptait le bien qu’elle voulait qu’il lui fasse. Jean laissa ses mains vagabonder sur ses hanches, il remonta ainsi le long des côtes et atteignit les épaules menues, mais fermes et si douces de cette femme décidément si envoûtante.
Depuis le premier baiser qu’il avait échangé avec Ève, il avait senti une érection le gagner et qu’il avait toutefois réussi à contrôler. À présent son sexe était devenu dur, vivant et infiniment sensible. Il n’osait s’appuyer complètement de peur que son état en devienne trop perceptible par la belle. Ève décolla à nouveau ses lèvres de celles du jeune homme et lui saisit la tête pour l’enfouir dans le creux de son cou.
— Embrasse-moi fort, souffla-t-elle.
Jean se mit à embrasser et à goûter la peau de sa séductrice du bout de la langue. Il sentait les bras de cette dernière qui l’enlaçaient, l’encourageant dans ses baisers. Il laissa sa langue se promener sur les épaules puis sur la gorge de la belle, descendant doucement puis remontant jusqu’à la peau son cou. D’un geste pressé, Ève passa ses mains sur les fesses du jeune homme et l’appuya contre elle en même temps qu’elle ramena son visage vers elle pour l’embrasser à pleine bouche cette fois. Jean sentit la langue envahir sa bouche puis jouer avec la sienne.
Il n’avait plus conscience du temps. Il se sentait n’exister que pour elle, que par elle. Avec tendresse, Ève le repoussa doucement.
— Je crois que nous ferions mieux de rentrer maintenant.
— Euh… ...