1. Le jeune homme du train (1)


    Datte: 30/11/2021, Catégories: Gay Auteur: thomas45, Source: Xstory

    ... fuyants du côté de l’autre lorsque je m’apprêtais à le regarder. Je faisais de même quand je sentais qu’il allait me regarder. Mon imagination repartie sur ses jambes, que je me représentais toujours aussi blanches et légèrement poilus, provoquant à nouveau un afflux de sang à ma queue, que je ne cherchais alors pas à cacher. Lui seul pouvait la voir.
    
    Comme pour l’inviter à me rejoindre, je mis mon sac sur le sas au-dessus de nos têtes. Quand, en me rasseyant, je jetais un coup d’œil dans sa direction, je vis également une bosse sous son jean. A nouveau hypnotisé, je ne pus lâcher du regard sa proéminence, jusqu’à ce qu’il se décide enfin à me rejoindre en s’asseyant à côté de moi.
    
    Le bonheur et la surprise livraient en moi une bataille intérieure qui me paralysa complètement. Lui aussi, d’abord, me fixa, manifestement hésitant. Puis, il déplaça son regard vers la bosse sur mon short, qui n’avait pas bougé. En signe d’assentiment, je contractais autant que je pus ma queue, laquelle, à l’intérieur de mon short, eut un spasme bien visible.
    
    Il sourit, me regarda dans les yeux, puis abaissa encore son regard vers ma bite.
    
    N’y tenant plus, je déplaçais lentement ma main jusqu’à la bosse formée sur son jean, que je commençais à caresser délicatement du bout des doigts. Elle paraissait tellement belle, mais tellement à l’étroit... J’entrepris alors de déboutonner son jean pourla toucher directement à travers son caleçon.
    
    Il avait alors abandonné son regard ...
    ... impassible pour me sourire et s’abandonner à mes caresses. Ce qu’il était beau...
    
    Lorsque j’eus déboutonné son jean, je le descendis un peu plus bas que nécessaire pour apercevoir le haut de ses cuisses dont j’avais tant rêvé sur le quai. Elles étaient aussi blanches et parcourues du même léger duvet que son talon. J’exultais et ne résistai pas au plaisir de les caresser avant de remonter vers la belle bosse qui déformait son boxer Calvin Klein blanc.
    
    Sa bite semblait massive, je sentais les creux dessinés par ses veines à travers son boxer. Au bout de quelques secondes de caresse à travers ce dernier, je n’y tins plus et passai ma main sous le tissu, en passant par sa cuisse, pour empoigner directement son engin. Je le fis ensuite sortir par le haut et y approcher lentement ma tête. Effectivement, l’engin était particulièrement gros. Surtout, lorsqu’il descendit complètement son boxer pour libérer ses couilles, je fus charmée par ses poils pubiens, manifestement rasés, mais pas totalement. Ce gazon d’une quinzaine de centimètres semblait là pour mettre en valeur ses bourses bien pleines. L’odeur de sa teub m’enivra. On devinait l’odeur du gel douche dont il avait dû s’enduire ce matin : un mélange d’orange et d’une autre fragrance que je ne reconnus point.
    
    Je sortis donc ma langue de sa bouche et commençai à sucer, d’abord son gland puis je redescendis jusqu’aux couilles. Je gobais ses testicules, lui arrachant un début de grognement qu’il parvint à réduire à un soupir. ...