Mon père me prend en mains (11) - Histoires de Sexe

Mon père me prend en mains (11)

... main me tire par la jupe.

C’est Alexandre qui me fait a nouveau m’asseoir sur ses genoux.

Je rigole mais Thomas nous dévisage.

— Alex arrête ça...

— De quoi Thomas ?

— Bah de prendre ma meuf sur tes genoux.

Je l’interromps.

— Mais chéri, tout va bien, ne t’en fais pas. Je vais pas me mettre sur les tiens pour te parler.

— Mais j’aime pas...

— Ne sois pas jaloux. C’est pour toi que je suis venu, pas pour Alexandre.

Ce dernier intervient.

— Ouais t’inquiète mec, je vais pas te la piquer !

Pendant qu’il dit sa phrase, il passe sa main opposée à Thomas sur ma fesse.

Je lui jette un petit regard amusé et dubitatif, et il me fait un clin d’œil complice.

Thomas est interpellé par Paul, qui lui ressert un shot.

La soirée se poursuit, Alexandre est de plus en plus tactile et Thomas de plus en plus bourré.

Je demande à aller aux toilettes, et Thomas veut m’accompagner mais j’insiste pour qu’il reste.

Je me lève et je me déhanche jusqu’à la maison. Je me rends compte que je ne sais pas où ils sont.

— Tu cherches les toilettes ?

C’est Dylan qui m’a posé la question.

Je lui dis que oui et il me dit qu’il va me montrer où c’est.

Il monte les escaliers de la maison et je le suis.

Il s’approche d’une porte et me l’ouvre tout en restant dans le passage.

Je le regarde, dubitative.

— Il est agréable ton cul.

— Tu... tu aurais pas du faire ça.

— Faire quoi ?

— Me toucher sous la table.

— Tu as aimé pourtant ...

... puisque tu es restée un moment. Et tu as même regardé si tu me faisais bander quand tu t’es levée.

— N... non... c’est pas vrai. Et de toutes façons je suis la copine de Thomas donc oublie ça.

— Mais ton cul est trop beau, Thomas le mérite pas. En plus il a une petite bite, et ça se voit que tu aimes les grosses.

Je souris malgré moi entre le compliment et la justesse de son commentaire.

— Mais c’est pas vrai, elle est très bien la sienne. Dans tous les cas tu devrais pas faire ça, c’est pas sympa pour lui.

— Bah tu auras qu’à m’en empêcher alors.

Il me fait un air de défi qui me fait rire.

Il me laisse passer et je ferme la porte à clés.

Je fais pipi, je me lave les mains, et je réouvre. Dylan se tient droit devant, me barrant à nouveau le passage.

Il a sa braguette entre les doigts et a défait sa ceinture et le bouton de son short.

Il baisse sa braguette et je ne peux m’empêcher de regarder la bosse qui déforme son boxer.

Je croise les bras et passe un doigt entre mes dents sans réussir à m’empêcher de sourire.

— Tu me laisses passer ou tu veux me la tenir ?

— C’est toi qui m’empêche de sortir.

— Bah laisse-moi rentrer.

Je me décalle légèrement et il passe très doucement juste devant moi.

Il s’immobilise et fait jaillir sa queue de son boxer de sorte à ce qu’elle touche ma jupe.

Je rigole à nouveau en en detournant les yeux.

— Mais t’es fou !

— T’es pas obligée de la mater !

— Mais tu la mets sous mon nez...

— Je te ...