1. La Coloc' (20)


    Datte: 28/11/2021, Catégories: Gay Auteur: Poiluhds, Source: Xstory

    ... moi...
    
    Je suis épuisé. J’ai plutôt envie de dormir, mais Nicolas glisse sur le fauteuil, lève les jambes, les écarte et passe la main droite sous sa cuisse pour venir se caresser le trou...
    
    — Regarde... ma chatte a envie de toi.
    
    Il joue à écarter les bords de son orifice poilu et se pénètre avec l’index.
    
    Le spectacle me rend dingue et je sens ma verge prête à exploser. Je me lève, trouve une capote et du gel un peu dans la précipitation et je viens me pencher vers Nicolas toujours affalé dans le fauteuil, les jambes en l’air et le cul offert à ma pénétration.
    
    — Viens... viens me baiser...
    
    Je ne me fais pas prier. Il est tard. J’ai envie d’aller dormir, mais je dois jouir avant.
    
    J’appuie mon gland sur ce trou que je commence à bien connaître... je m’enfonce facilement, les anneaux fermes de son intimité s’ouvrent pour m’absorber tout entier.
    
    — Baise-moi bien...
    
    Je le pilonne sauvagement. Trop de testostérone accumulée ce soir. Je ne réfléchis plus... il faut que j’éjacule... et le corps bandant de Nicolas est mon paradis en cette heure avancée de la nuit...
    
    — Oh oui !!!!! C’est bon... Putain... baise-moi bien.....
    
    Je sens mon gland avalé... objet de toutes les attentions de sa chatte poilue... Je vais jouir...
    
    — Ouiiiiiii... jouis Julien...
    
    et au moment où mon sperme jaillit pour remplir la capote au fond du ventre brulant... Nicolas me déchire la ...
    ... conscience :
    
    — JE T’AIME !!!!!!!
    
    Quoi ? Que vient-il de dire ? Est-ce que ces mots ont un sens ce soir ? Les a-t-il prononcés parce qu’il prenait son pied et basculait dans une extase hors de son contrôle ou les pensait-il ? Les pense-t-il ? Faut-il que j’ouvre les yeux sur quelque chose qui ne serait pas qu’une attirance physique, bestiale, irrésistible ????
    
    Je m’effondre sur lui, la queue prisonnière de son cul velu baigne dans mon jus au fond de la capote. Son regard fixé au plafond revient vers moi. Il me fixe et me sourit...
    
    — Julien...
    
    Je ne sais pas si je dois lui répondre.
    
    Je t’aime...
    
    J’avais bien entendu et voici que je dois me résoudre à l’évidence. J’ai envie de pleurer. Envie de fuir et de rester.
    
    Il écarte les bras et me serre contre lui.
    
    Je pose mes lèvres sur les siennes. Nous nous embrassons longuement puis, presque à bout de souffle, j’abandonne sa bouche.
    
    Je plonge les yeux dans les siens...
    
    — Je t’aime Nicolas...
    
    — Viens dormir avec moi...
    
    Nous nous levons comme dans un état second. Douche, brosse à dents, extinction des lumières et nous nous retrouvons dans le noir, dans son lit, enlacés dans les bras l’un de l’autre. Ma langue contre la sienne, mon gland dur à nouveau contre le sien qui laisse couler sur mon pénis quelques gouttes de lubrifiant. Nous nous serrons presque à nous étouffer pendant qu’au bas de nos ventres, nos queues s’écrasent. 
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