1. Le kayak en été (1)


    Datte: 26/11/2021, Catégories: Hétéro Auteur: A5312, Source: Xstory

    ... mais que l’après-midi est encore jeune et que ces deux semaines peuvent devenir intéressantes !
    
    Une fois arrivés sur place, nous louons un canoë pour deux. Elle n’est pas très forte et préfère que je l’aide. L’heure est arrivée, elle ôte son minishort et son T-shirt, dévoilant un somptueux bikini cachant si l’on peut dire un très joli petit cul et une poitrine à damner un saint.
    
    Ma bouche fermée et ma salive essuyée, je me déshabille à mon tour. Mon mètre quatre-vingt-cinq pour 80 kilos de muscle ne la laisse pas non plus indifférente, puisqu’elle esquisse un sourire et un regard intéressé. Je sens qu’elle a les mêmes idées que moi !
    
    Au fur et à mesure de l’avancée du parcours, nous jouons et rions de plus en plus comme deux amis, ce qui nous permet de nous rapprocher inexorablement l’un de l’autre. Après quelque temps, l’heure du casse-croûte arrive et j’aperçois une berge calme et sans personne. Nous nous y arrêtons et pique-niquons. Les regards et les mains se frôlent de plus en plus comme vous vous en doutez, de la complicité s’installe, augmentant la tension sexuelle. Nos corps se touchent finalement, mais des badauds nous coupent à plusieurs reprises dans nos élans.
    
    Dégoutés et voyant le soleil décroître, nous décidons de rentrer. Je décide dans un élan chevaleresque de la porter jusqu’au canoë. À mi-chemin pourtant, ne voyant personne alentour, je prends mon courage à deux mains, la remets debout, la colle contre moi et l’embrasse langoureusement. Cette ...
    ... dernière me rend mes baisers et nous nous retrouvons au milieu de nulle part comme deux adolescents se bécotant. Ce petit moment peut paraître anodin ou ridicule pour un grand gaillard comme moi, néanmoins il me permit de reprendre confiance dans une phase de profonds doutes. Les balafres du passé mettent du temps à s’estomper.
    
    Ce baiser donc, ou plutôt ces baisers, se sont finis à la nuit tombante, nous laissant sur un goût de trop peu. Le canoë rendu, nous nous changeons à tour de rôle dans les toilettes du commerce et arrivé chez elle, j’entends un:
    
    — Veux-tu boire un verre chez moi ?
    
    — Oui pourquoi pas, ça nous permettrait de continuer à discuter.
    
    Bien qu’étant gentleman, je ne peux me résoudre à la laisser seule dans cette si grande bâtisse. Dès que nous entrons, elle se mit à se déshabiller à mon grand étonnement au fur et à mesure des pièces. Quatre pièces plus tard, nous arrivons dans sa chambre, elle est totalement nu et moi totalement chauffé à blanc. En effet, elle ne porte pas de sous-vêtements. Grrr quelle femme ! C’est dommage, j’adore les sous-vêtements de femme, je trouve que ça embellit leur corps. Mais P*****! Qu’est-ce qu’elle est belle, pour rester poli !
    
    Arrivée dans sa chambre, je l’embrasse avec passion, que dis-je, je la couvre de baisers. Je l’allonge doucement sur son lit et me mets à caresser son corps de ma bouche tout en cherchant lentement ses seins, son ventre, ses cuisses et son plaisir.
    
    Ne pas y aller trop vite, surtout ne pas y ...