Changement de vie post-Covid (2) - Histoires de Sexe

Changement de vie post-Covid (2)

... le jeton pour le café, pendant que je le prépare, caresse-moi et tu peux être odieuse avec moi j’aime les femmes de caractère.

Cette boîte est remplie de lesbienne pire que dans mon ancienne vie !

— Mais Nicole on pourrait nous voir tu es folle !

— Fais ce que je te demande sinon j’irais en parler à Annie et je pense qu’elle n’appréciera pas, à toi de voir.

Nicole se dirige la machine à café avec sa minijupe qui remonte qui dévoile ses grosses cuisses.

— Voilà le café de cette salope Lydia.

Nicole se trémousse devant moi, cette fille me révulse par sa vulgarité ; tout l’opposé de Chloé qui est la féminité incarnée.

— Nicole, elle attend son café, je suis à son service, pas au tien désolée, mais je peux revenir plus tard promis.

— Tu reviens me voir quand tu veux, tu as une dette envers moi dorénavant.

— Mais avant de partir, caresse-moi la chatte deux minutes.

Elle est vraiment grave cette fille, bon si je ne le fais pas, de quoi est-elle capable ?

Je m’approche et lui glisse ma main entre ses jambes.

— Et comment sais-tu que j’aime les ...

... filles Nicole ?

— C’est pas dur, Annie n’embauche que des filles bi ou lesbiennes !

— Continue à me doigter ma salope et fais pas ta sainte-nitouche avec moi, je vois que ça te plaît.

Elle mouille abondamment, son odeur est déjà forte et sa cyprine coule sur l’intérieur de ses cuisses.

— Et bien on porte rien sous son chemisier ?? Montre-moi tes seins ma belle !

Je ne sais pas pourquoi, mais j’entrouvre plus ma décolletée pour dévoiler mes seins.

— Hummm elle a encore fait un bon choix Annie.

Nicole prend mon téton gauche et le fait rouler entre ses doigts.

— Sont bien fermes tes seins, t’as quel âge Lydia ?

— 47 ans pourquoi ?

— Merde j’ai 6 ans de moins que toi et mes seins ressemblent à des gants de toilette.

— Euh oui Nicole, mais je te répète je ne suis pas à ton service, je repasse plus tard.

Je retire enfin ma main poisseuse d’entre ses jambes, prends le café et pars vite de ce piège. Cette folle me libère sans faire d’esclandre, je n’aurai pas cru.

Je me dépêche de retourner au bureau de Chloé.

Je frappe, elle ne répond pas...