1. Découvertes au badminton (1)


    Datte: 26/11/2021, Catégories: Gay Auteur: Jardinsecret, Source: Xstory

    ... eu une telle avance, c’est carrément une pipe que tu vas me faire !
    
    Je gagnai le point suivant, mais sur une erreur de sa part. Nous nous retrouvâmes donc à égalité au score, mais plus dans la tête. Je ne savais pas pourquoi, je n’arrivais plus à ôter de ma tête des images que j’avais mises sur ses derniers mots: moi et son pénis en bouche ! C’était incompréhensible pour moi, car j’avais toujours été uniquement attiré par les filles, leurs formes, leur corps et mes fantasmes ont toujours été axés sur un joli minou plutôt qu’un "vulgaire" zizi. Je n’arrivais plus à me concentrer sur la partie, je sentais même un début d’érection venir à ma grande surprise. Il finit par gagner 21 à 19, mais je ne ressentis même pas de déception concernant la partie: j’avais maintenant autre chose en tête...
    
    Après cette partie, la séance touchait à sa fin et nous sortîmes de la salle. Lors du trajet, mon excitation n’était pas redescendue, je n’arrivais pas à y croire, mais j’avais dorénavant envie du gage ! Nous avions 15 bonnes minutes de trajet pour atteindre le point où nos chemins jusqu’à nos maisons respectives se séparaient. Perturbé, j’étais silencieux pendant les deux-trois premières minutes. C’est alors qu’il me dit:
    
    — Qu’est-ce que tu as ? Tu fais la tête à cause du dernier match ou c’est à cause du gage...?
    
    — T’as eu de la chance pour le match. Et le gage, tu l’aurais pas fait si tu avais perdu, lui dis-je.
    
    — Qu’est-ce que tu en sais ? Tu sais que je suis un homme de ...
    ... parole !
    
    — Mouais c’est ça, je vais te croire ! Genre tu m’aurais branlé, lui répondis-je comme pour esquiver alors que j’en avais envie.
    
    — T’as trop ouvert ta bouche ! Tu n’aurais pas dû faire le malin: tu n’assumes pas tes paroles !!
    
    Sa réponse fut fulgurante pour moi, entre sa défiance et mes désirs naissants, je me sentis un regain de courage et je décidai d’essayer d’amorcer quelque chose.
    
    Sur notre trajet, il y avait un petit bois, pas très grand, mais suffisamment pour permettre de s’isoler. Ce bois, nous le connaissions très bien, car nous y avions passé des milliers d’heures à faire les 400 coups durant notre enfance. Il était dans l’obscurité, car la nuit était tombée (il était 22h30 et nous étions début octobre, la température était encore douce). Alors je me lançai une fois arrivé à la hauteur des premiers arbres et je lui dis:
    
    — Et si j’assumais, tu ferais quoi ?
    
    — De toute façon, tu ne le feras jamais, me répondit-il.
    
    — Tu crois ça ? Il y a qu’un seul moyen de le savoir. Viens on s’arrête un peu, lui dis-je en désignant le petit bois sombre.
    
    — Je te suis, grande gueule !!
    
    Je sentais que je commençais à être serré dans mon pantalon. J’avais maintenant terriblement envie de faire cette folie et je ne souhaitais qu’une chose: voir son sexe et savoir si j’étais capable de "jouer" avec. On s’arrêta à un arbre couché sur lequel nous avions l’habitude de nous asseoir: il était placé en plein milieu du bois si bien que nous étions totalement à ...