1. Week-end de rêve


    Datte: 26/11/2021, Catégories: fh, extracon, copains, vacances, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, caresses, intermast, Oral fdanus, fsodo, init, lieuloisi, Auteur: Polo Polo, Source: Revebebe

    C’était la dernière année avant la pandémie de Covid19.
    
    Premier week-end des vacances scolaires, début juillet.
    
    Week-end camping avec des amis et leurs enfants.
    
    Pour être précis deux couples Laëtitia et Jérôme, Stéphanie et Sylvain, avec deux enfants chacun, et une amie mariée venue seule, Sandra avec ses deux enfants, son mari étant en déplacement professionnel et moi, Paul, célibataire depuis une décennie.
    
    Le lieu : les plages normandes, juste à l’est des plages du débarquement.
    
    Le vendredi après-midi, je suis arrivé le premier et ai confirmé les réservations pour tout le groupe et ai préparé un peu la logistique une fois ma tente montée.
    
    Les amis arrivent les uns après les autres par cette belle et chaude journée de début d’été.
    
    Les tenues décontractées sont de rigueur et je vois, je ne pense pas par hasard, que Laëtitia n’a vraiment pas de poitrine, juste deux boutons de sonnette, quand elle se plie devant moi, son débardeur bâillant largement et ouvrant la vue jusqu’à la ceinture de son short.
    
    Je souris et me dis intérieurement que ce week-end va être charmant.
    
    Installation du campement terminée, préparation de l’apéro et du dîner, affinage du programme des activités du week-end.
    
    Après une nuit où le sommeil a été en mode intermittent, le temps de s’habituer à dormir sur une mini mousse et sans isolation phonique autre qu’une toile de tente, réveil embrumé et préparation du petit déjeuner.
    
    Laëtitia et Jérôme sont allés chercher du pain ...
    ... frais et des viennoiseries. Super.
    
    Au programme de la matinée, visite de la batterie de Merville, il faut faire honneur au soixante-quinzième anniversaire du débarquement et inculquer aux enfants quelques notions sur le devoir de mémoire pour les jeunes hommes qui se sont sacrifiés pour leur pays, quel que soit le pays.
    
    Justement, la batterie de Merville a cet avantage d’avoir des collections allemandes et alliées.
    
    Sandra et ses enfants ne me quittent pas. Elle est habillée d’un short kaki de circonstance assez court.
    
    Comme elle a de belles jambes fines et bien fuselées, je profite parfois un peu du spectacle et, je l’avoue, je regarde son cul qui remplit parfaitement son short.
    
    Ça n’est pas la première fois que je le constate, mais elle marche très proche de moi, même si j’essaie de garder une distance protocolaire correcte, parfois nos épaules et nos bras se touchent et elle ne s’écarte pas quand ça arrive.
    
    Je n’y prête pas plus attention que ça vu que c’est quelque chose qui est déjà arrivé dans le passé.
    
    Lors de la visite, nous nous retrouvons dans une salle son et lumière avec une reconstitution d’un combat de nuit. Lumière éteinte donc. Le public se place dans un coin de la pièce. Je me mets contre le mur, car je suis assez grand pour voir en étant en dernière ligne.
    
    Sandra est devant moi, ses enfants devant elle. La lumière s’éteint, le spectacle commence.
    
    Au bout de quelques minutes, je sens Sandra qui recule d’un demi-pas ce qui la fait ...
«1234...»