1. Le dépucelage de mon grand-père pendant la guerre 39/45. Suite


    Datte: 26/11/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Mlkjhg39, Source: Hds

    ... revus jamais. Nous ne quittions plus la minuscule ferme où mes cousines de Dieppe, Virginie et Colette nous avaient rejoints. Il ne faisait pas bon de vivre dans ces coins là à cette époque…
    
    Pour oublier mon chagrin, je n’avais pas trouvé mieux que de me noyer dans la luxure, dans ces courts moments de bonheur où j’oubliais tout. La bicoque était si petite que Lina avait prêté une dépendance pour en faire un dortoir pour mes cousines, ma sœur et moi. Elle avait récupéré des lits superposés, d’un coté, moi et ma sœur, de l’autre mes cousines. La nuit, il était interdit d’allumer et la minuscule fenêtre qui donnait sur l’océan était obturée par une couverture épaisse car si une lumière était aperçue par les marins de leurs vedettes ou des boches qui faisaient des rondes, ils n’hésitaient pas à lâcher une rafale de mitrailleuse ou des coups de fusil.
    
    Mais c’était sans compter l’insatiable Ninon. Elle se coulait subrepticement dans la pièce en pleine nuit, se suspendait des mains aux lattes du lit supérieur et me chevauchait comme une amazone déchainée, serrant les lèvres pour ne pas réveiller les filles endormies. J’eu la surprise un matin en voyant une tache de sang sur les draps et inquiet, m’en épancha à Ninon.
    
    -Tu étais bizarre cette nuit, on aurait dit que tu ne savais pas comment faire et j’ai ressenti comme de la résistance quand mon sexe s’est enfoncé dans le tien.
    
    Sa réaction fût étonnante.
    
    -Ah la petite pute ! Elle a osée !
    
    -Osé quoi ? Et qui ...
    ... ?
    
    -Ma sœur pardi ! J’ai dû passer la nuit à l’étable car la « Rousse » était malade. Cette salope d’Aline en a profitée pour allez se faire dépuceler sur ton gourdin ! Et tu n’as rien remarqué ?
    
    -Eh bien, euuuhhh, je dois dire que… j’ai bien remarqué que l’étui avait l’air plus serré que d’habitude et que tu/qu’elle n’a pas tenu longtemps avant de geindre, j’ai même dû la bâillonner des mes mains pour qu’elle ne réveille pas les autres.
    
    Mais le mal était fait, et les poulettes dessalées. Dans les semaines qui suivirent, deux fois encore, des taches de sang tachèrent mes draps. J’étais devenu le coq de la basse-cour, le seul et unique… Et toutes les poules caquetaient entre elles pour comparer leurs impressions, ce qu’elles avaient fait ou non, en voulant encore plus de ma part. Un vrai défilé je vous dis !!! Il manquait une tache de sang, ce qui voulait dire que : Où l’une d’elle s’abstenait, ou elle était déjà dépucelée, mais laquelle ???
    
    Le pire, c’est que je ne savais jamais quelle poulette montait sur le coq tellement la pièce était dans le noir complet. Et à part Ninon, sa mère ou sa tante qui demandaient elles aussi leur dû quand je partais avec elles aux travaux des champs, je ne savais laquelle j’étais en train de troncher… Je n’ai jamais su laquelle, quand elle arrivait à l’orgasme, m’inondait comme si elle me pissait dessus que mes draps en étaient à tordre. Par accord tacite d’ailleurs, mes draps étaient changés chaque jour sans qu’un seul commentaire de l’une ...