Bourgeoises Rééduquées : Partie 06
Datte: 25/11/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: byVerdu, Source: Literotica
... matelas posé directement sur le sol se trouve la générale. Elle est complètement nue, ses gros seins tombant de chaque côté de son torse. Ils sont égratignés comme le reste de son corps. Du foutre sort de sa chatte et de son cul ainsi que de sa bouche. De toute façon elle est complètement recouverte de sperme et à l'odeur, sûrement de pisse aussi.
Elle semble marmonner, des bulles de sperme sortant de sa bouche. Je m'approche et j'écoute attentivement pour comprendre ce qu'elle dit :
— Ouiiiii... ohhhhh... encore... venez mes chéris...
Je me mets à rire et je me retourne vers mes compagnons. Je vois que Charlotte est effarée de l'état de la vieille femme. Je dis :
— Elle en redemande...
Éric rigole avec moi. Il demande alors à son contremaître :
— Bobesco, il faut qu'elle s'en aille. Peux-tu trouver des gars pour aller la laver et l'habiller du mieux qu'ils le peuvent.
— Ouvriers très fatigués! Bien baisés la dame! Mais moi trouver deux volontaires pour faire!
Il s'éloigne et va parler avec deux gars assez costauds. Ceux-ci viennent prendre la générale sous les bras et la traînent jusqu'à la douche. Bobesco récupère les vêtements et les suit. Charlotte, Éric et moi restons plantés au milieu du baraquement.
Je vois que certains ouvriers reluquent Charlotte sans se gêner. C'est normal, ses seins nus pointent sous sa robe et sa descente de rein est tout à fait splendide. J'ai envie de m'amuser un peu. Je me retourne vers elle et commande :
— À ...
... poil! En position!
Ses yeux s'ouvrent en grand. Je vois dans son regard qu'elle a vraiment peur maintenant. Je la vois ouvrir la bouche sûrement pour protester. Alors je n'hésite pas, je mets une grande claque sur son cul encore douloureux de la fessée de la soirée et je dis :
— IMMÉDIATEMENT!
Je vois des larmes poindre au bord de ses yeux. Mais doucement, elle défait les boutons de sa robe, puis la laisse tomber à ses pieds. Elle l'enjambe, mets ses mains sur la tête et écarte les jambes. Elle regarde en l'air pour ne pas croiser les regards des ouvriers qui restent bouche bée. Elle est rouge pivoine. En bon salaud, je tourne le couteau dans la plaie. Je lui dis :
— Elle n'est pas bien là, la bourgeoise? Tu es moins arrogante à te faire reluquer par des ouvriers roumains! Elle est où la fille de bonne famille, la mère de famille, l'épouse chérie, la snobinarde qui regarde les gens de haut?
Maintenant, elle pleure à chaudes larmes, mais elle reste en position. Je laisse les ouvriers se rincer l'œil jusqu'au retour de la générale. Celle-ci apparaît quelques minutes plus tard accompagnée du contremaître. Elle semble aller un peu mieux, mais elle fait quand même assez clodo. Sa coiffure ne ressemble plus à rien, elle a les traits tirés, ses vêtements sont complètement froissés. Je m'approche d'elle et lui demande :
— Comment allez-vous, Madame la Générale?
— Très... Très bien cher ami! dit-elle en regardant autour d'elle.
Elle voit Charlotte nue au milieu du ...