Beau-papa & Co (2)
Datte: 21/11/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: charimarien, Source: Xstory
... connaître, ma petite Christelle. Tu es comme elle, toujours gourmande de sexe. C’est elle qui pratique le Shibari, un art ancestral qu’elle m’apprend.
— Le quoi ?
— Le Shibari, le bondage si tu préfères.
— Ah oui !
— Elle aime attacher et être attachée. Elle le pratique sur des volontaires, des femmes de préférence. Fils, sors ce livre de photos du second tiroir de la commode du salon et amène-le, s’il te plaît. Tu vois, ma douce, moi aussi, j’aime me faire attacher quand c’est ma Mariko qui me ligote. J’aime à la ligoter pour abuser de son corps. Oh, elle en fait de même quand elle me suspend dans ses cordes.
— Comme quoi ?
— Elle m’enfonce sa petite main dans mon cul.
— Et t’aimes ?
— J’adore ma petite, j’adore.
— Je peux, si tu le veux.
— Apporte aussi le tube de lubrifiant, fils. Je sens de très grandes choses entre ma Mariko et toi, ma chérie.
— Amour de père, je t’aime parce que tu n’es qu’un vulgaire débauché, comme ton fils, tiens.
— Le fruit ne tombe jamais loin de l’arbre, ma belle petite salope.
— Salope, oui, j’en suis une depuis que je connais ton rejeton. Donne mon amour, je vais enculer ton père de ma main.
Devant mon Alain, je lubrifie le cul de ce père. Je le lèche aussi, mais ça, c’est parce que j’adore lécher un beau cul. Puis, très lentement, mes doigts commencent à s’enfoncer dans cet anus. Le père pousse déjà des râles de bonheur. Quand ma main disparaît entièrement, mon Christian me susurre de l’enfoncer plus ...
... loin, jusqu’à ne plus pouvoir. Pour lui et mon homme, je me sens prête à me dépasser. Pour Christian, c’est juste lui rappeler qu’Mariko lui manque et mon avant-bras s’enfonce avec ma main fermée et il jute sur mes cuisses. Mon Alain bande comme un taureau. Je le guide, place son gland devant le cul béant de son père. Je le vois hésiter, je baise sa bite, pousse sur ses fesses, mon majeur dans son anus et il sodomise son paternel. Je me sens alors toute chose, comme électrisée. Devant la bouche de Christian, je glisse mes doigts dans sa bouche qui me les lèche pendant que son regard ému plonge dans le mien.
Il me lèche aussi tout mon avant-bras, je le lèche avec lui et on s’embrasse fougueusement.
— Maintenant, je ne vous quitte plus, mes amours.
— Ma belle Christelle, que j’aime ton corps comme ta tête pleine de vices.
— Les mêmes que les tiens, amour de père.
— Oui ma fille.
— Amen !
Mon Alain semble ne pas détester enculer son père, ce même père qui encourage son rejeton à y aller franco de porc. Christian attire mon entrejambe devant sa bouche et me le dévore. J’aime ces hommes et rien, ni personne ne pourra me séparer d’eux. Petite parenthèse, on a essayé de nous séparer. Oui, de bons amis ont tout fait pour. On a même joué leur jeu avec mon Alain. Entre nous, ils en ont eu pour leur fric et on leur en a mis plein la gueule quand un soir, pendant un souper entre potes, on leur a tout dit, à nos "amis". Faillait voir leurs gueules d’enterrement quand ...