1. Nymphomane, moi ? Tome II (9)


    Datte: 19/11/2021, Catégories: Hétéro Auteur: Trixie, Source: Xstory

    ... douleur mêlé à du plaisir me fit ouvrir la bouche, sa langue envahit ma cavité buccale. Sa salive au goût suret coula dans ma bouche. Il dut sentir que j’aimai son pincement, car il se saisit de mon autre téton et lui fit subir le même sort.
    
    Ma poitrine se tendit vers l’avant comme pour en redemander, et vaincue par le plaisir et la légère douleur qui irradia de mes seins les faisant durcir, je lui rendis son baiser avec fougue.
    
    Il écarta les bandes de tissu qui encadraient mes aréoles, faisant bien jaillir les globes qui se trouvèrent légèrement compressés par les lanières de dentelles.
    
    Sa bouche entourée de poils rêches et piquants descendit le long de mon cou, son menton aux poils piquants se frotta sur le haut de ma poitrine et ses dents encerclèrent mes bouts de nichons en totale érection. Il se mit à me les mordiller assez vigoureusement.
    
    — Ouuuuiiiii, ouuuuuiiiii, vas-y mords-moi bien les tétons, ouuiiiii comme ça !!! Ça m’excite, mords les bouts, les bouts, ouiiiiiii comme ça...
    
    Son gland triangulaire dur comme un roc se frotta au-dessus de mes bas, il le glissa sous la lanière du porte-jarretelles et le frictionna doucement sur ma peau nue. Son majeur s’insinua dans ma chatte et ma vulve commença à me chatouiller et à devenir à nouveau moite. Ses lèvres commencèrent une lente descente vers mon ventre, sa salive laissa une traînée visqueuse sur ma peau. Il passa ses deux mains sous mes fesses et malaxa mes deux globes fermes. Les étira pour ouvrir mon ...
    ... anus qui subit la pression de ses majeurs.
    
    Ses yeux sombres ne quittèrent pas le spectacle obscène de mon sexe à la fente rose et humide largement ouverte qui palpita sous son regard lubrique.
    
    Je lui saisis la tête et plaquai sa bouche sur ma chatte en feu, qui n’attendit que la pénétration de son gland décalotté mauve foncé.
    
    Il me plaisait beaucoup, il était assez pointu, puis s’évasait en une large corolle d’au moins cinq centimètres de long jusqu’à la couronne bien marquée et très saillante, cela m’avait procuré des sensations exquises sur les parois vaginales, au moment de la pénétration ou de la rétractation lors de notre précédent coït.
    
    Ses lèvres se posèrent sur la peau de ma jambe droite, là où s’arrête le bas. Sa langue remonta le long de l’attache jusqu’à mon mont de Vénus, redescendit dans l’aine, puis il pressa son visage contre ma vulve ruisselante humant le foutre qui coulait, et sa langue lécha le bord de mes lèvres. Des mouvements lascifs firent tressauter mes hanches. Au fur et à mesure que sa langue écarta mes grandes lèvres, il l’enfonça dans mes entrailles, mes cuisses s’ouvrirent, son pouce titilla mon clitoris, un cri d’extase jaillit de ma gorge.
    
    Maxime aimait regarder mes ébats, mais moi aussi, j’étais friande des sensations que ceux-ci pouvaient provoquer chez lui, je n’avais pas besoin de tricher, je pris du plaisir avec ces deux épouvantails. Il ne voulait pas l’avouer, mais j’étais sûre que ce brave Maxime était un peu jaloux de voir ...
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