Mes jeunes et jolies voisines (1)
Datte: 17/11/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Poussin libéré, Source: Xstory
Tout débute par une belle journée de fin de printemps. À la fin du confinement dû à la Covid, j’ai eu la possibilité de continuer le télétravail. Je ne me suis pas fait prier. J’habite une maison dans un quartier tranquille, loin de l’agitation des villes.
Marié depuis bientôt 10 ans, père de 2 enfants, je n’ai jamais songé à aller voir ailleurs, mais le destin est parfois plein de surprises.
Je travaillais donc en ce mois de juin à mon bureau, fenêtre ouverte. Ma femme est à son travail, les enfants sont retournés à l’école. Concentré sur un document, j’entends à peine les voisines dans leur grande piscine. Elisabeth et Sophie ont respectivement 20 et 18 ans. Étudiantes, les cours n’ont pas repris en présentiel pour elles et elles profitent de se rafraîchir. Je les connais un peu, car elles viennent parfois faire du baby-sitting chez moi.
Au milieu de l’après-midi, je décide de faire une pause et je me pose un moment sur la terrasse. Ma maison domine les autres et j’ai une vue plongeante sur la piscine. Sans trop y faire attention, je regarde les deux jeunes filles dans leur piscine.
Toutes les deux mesurent environ 1m65. Leurs cheveux noirs et longs leur arrivent à la moitié du dos. Nées d’une mère chinoise et d’un père de la région, elles ont des yeux légèrement bridés, marron. Elisabeth, qui est l’aînée, est une sportive. Son corps d’athlète est parfait, avec néanmoins une paire de seins tout à fait correcte. Ses fesses ont l’air fermes. Elle porte un maillot ...
... de bain sportif une pièce, très moulant. Sophie, plus du genre artiste, porte un petit bikini deux pièces. De là où je suis, je peux deviner des seins généreux et des fesses plus charnues que sa sœur.
Je ne peux m’empêcher de les fixer. Avec mes 40 ans, mes 1m85 et un embonpoint naissant, je me mets à imaginer des choses. Un grand bruit me sort de mes rêveries, Sophie vient de plonger et en ressortant, son haut est tombé. Je ne m’étais pas trompé, sa poitrine est généreuse pour une fille de 18 ans. Sa sœur la chambre surtout qu’elle m’a repéré sur le balcon. Gêné, je rentre pour continuer à travailler.
De retour à mon bureau, j’entends encore les rires des deux jeunes filles, mais au bout de quelques minutes, je me replonge dans mes rapports.
Soudain, on sonne à la porte. Sans trop savoir qui cela peut être, je descends et vais ouvrir. Je suis nez à nez avec mes deux charmantes voisines, Elisabeth portant Sophie qui se tient sur une jambe.
— Excusez-nous de vous déranger, mais Sophie a glissé sur le bord de la piscine et a dû se fouler la cheville, m’explique Elisabeth. Comme nos parents ne sont pas là, auriez-vous une compresse froide ou quelque chose ?
— Bien sûr, entrez, leur répondis-je. Installe ta sœur sur le divan, j’arrive.
Je vais chercher une compresse froide et une pommade anti-inflammatoire. De retour au salon, Sophie est assise et Elisabeth est à ses côtés, à genoux. Dans sa précipitation, elle n’a pas remarqué que son maillot sport lui rentre ...