Pierre, le journaliste (3)
Datte: 16/11/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: phildomi, Source: Xstory
... souriante.
— Alors, dit-elle, qu’en pensez-vous ?
Elle n’a pas bougé. La queue de pierre est toujours fichée en elle. Elle est rayonnante.
— de quoi, de la façon de tu baises ? Je n’en pense que du bien. De ta proposition ? Elle demande réflexion et pour l’instant, la priorité, c’est que je sois libéré.
Emma se lève à regret, se rajuste, s’assoit et regarde le dossier.
— Cela va être simple de vous libérer, le jour et aux horaires où le meurtre s’est passé, vous étiez en train de vous occuper de votre chienne. Elle avait les tétons et le clitoris écrasés par des pinces à dents. Cela faisait plus d’une demi-heure qu’elle était comme cela et que vous la regardiez avec envie. Elle avait mal, des larmes coulaient et vous, vous bandiez. Elle a dû jouer avec ces pinces en les tournant, elle poussait des petits cris et cela vous a encore fait plus bander. Vous adorez voir votre chienne souffrir et, elle, elle aime cela. Cela la fait mouiller. Surtout quand les séances sont dures. Elle adore obéir à son maître, elle adore quand il la traite de chienne, de salope.
— Tu te parles à la troisième personne ?
— Non, excusez-moi. C’était pour vous faire comprendre que c’est un vrai désir de devenir votre esclave. Je veux vous appartenir.
— Je suis d’accord avec toi. J’étais occupé pendant que ça s’est passé et j’ai un témoin. Je ne crois pas que ce soit un meurtre, je pense que c’est un accident. Irène est une spécialiste de la domotique. Elle est reconnue au ...
... niveau international. Elle donne des cours à des élèves ingénieurs. Je vais te raconter une de mes soirées chez elle.
Pierre boit un peu d’eau dans une bouteille qu’Emma a amenée et reprend :
— en partant du café où j’ai mes habitudes et elle me fait un signe, hochement de tête, et je sais que je peux venir, dénégation, elle n’a pas envie. Quand c’est par l’affirmative, je vais chez elle. Je rentre par une porte dérobée et je m’installe dans la véranda sur une chaise. Là, je me mets à l’aise, tu vois ce que je veux dire.
— Oui, je vois très bien, dit Emma en souriant.
— après un petit moment d’attente, Irène arrive par une autre porte, au moment où elle franchit la porte, une voix, celle de Jean-Pierre Marielle dit : tu es en retard. Au même instant, des bras métalliques articulés avec des pinces au bout se mettent en action. Ils enserrent les poignets d’Irène. C’est très rapide. Les robots commencent par la déshabiller. Une fois nue, les jambes sont prises à leur tour dans les tenailles des bras articulés. Irène ne peut plus bouger. Les jambes sont écartées jusqu’à la limite de ce qu’Irène peut supporter. Deux petits tuyaux viennent se mettre sur les tétons et les aspirent. Les tétons s’étirent inexorablement à l’intérieur du tuyau. Un troisième petit tuyau va vers l’entrejambe d’Irène. Il se met sur le haut du pubis et descend doucement entre les lèvres. Quand il arrive au clitoris, le tuyau s’arrête et l’aspiration commence. Irène gémit. Ses tétons et son clito ...