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Lucie, l'amie intime ! (4)
Datte: 16/11/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: CHARLES-LOUISE, Source: Xstory
... son pantalon. Il me tend mes vêtements un par un et m’aide à les remettre. — Tu as été superbe. Tu nous as donné du plaisir à tous et j’espère que toi aussi tu as bien profité. Marc a de la chance de t’avoir. Nous serons ravis de vous accueillir de nouveau lors de votre prochaine venue. Colette raccrocha le téléphone. — Un taxi sera en bas dans cinq minutes. Tu as été très bonne Lucie. J’ai aimé ta façon de donner du plaisir et je serai ravie de recommencer cette charmante expérience avec toi. Sache que Daniel ne t’aurait pas forcé. C’est une règle que nous avons établie et que Marc t’a confirmée. Reviens nous vite. Nous nous sommes embrassés et nous les avons quittés sur ces propos. Le taxi était arrivé. Il nous déposa à l’hôtel et nous nous sommes couchés dans les bras l’un de l’autre. J’ai mal partout, mes seins sont douloureux, mon clito est enflammé et ma chatte me brûle d’avoir été limée par cette queue énorme. C’est sans bouger que nous nous sommes endormis. Nous sommes rentrés le lendemain matin et avons retrouvé notre bureau et nos habitudes. Marc ne me toucha pas pendant plusieurs jours, où plutôt je l’empêchai de me toucher car c’était toujours un peu douloureux. — Voilà ...
... Charles ma première aventure. Je me pose souvent la même question : si Louise ne m’avait pas titillée avec vos rencontres en voiture est-ce que je me serai embarquer dans cette première soirée ? Parce qu’il y en a eu d’autres par la suite. Contrairement à ce que je vous ai dit la dernière fois, Louise me racontait vos séances et cela m’émoustillait toujours un peu plus. Elle est assise sur le fauteuil face à moi et me sourit. — J’espère ne pas vous avoir choqué, d’abord à vouloir vous raconter absolument cette histoire, mais aussi pour notre étreinte de tout à l’heure ! — Pour l’étreinte pas du tout, je crois que sans cela la soupape n’aurait pas tenue. Quand à l’histoire elle continue croyez-moi à faire son effet. Tout comme lorsque je relis les souvenirs que j’ai écrit. J’ai une érection à m’en faire mal et je suis obligé de me soulager à chaque fois bien que je connaisse le texte par cœur. — Revenez me voir et nous en reparlerons. Tenez, pourquoi pas la semaine prochaine, même jour, même heure ? Et puis ne croyez vous pas que l’on pourrait se tutoyer ? -Pourquoi pas en effet. Je te trouve vraiment charmante et j’aime ta façon de conter les choses. Je lui fis une bise et rentrai chez moi.