Tombés du ciel (39)
Datte: 15/11/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Yojik, Source: Xstory
... donnèrent finalement du cœur à l’ouvrage. De plus, les femmes gémissaient bien plus vite et plus fort. De la rapidité des langues qu’il voyait, Roger comprit qu’elles allaient surement jouir dans peu de temps. Il serait bien allé baiser, Bérénice ou Alicia, mais pour une fois qu’il la voyait dans toute sa splendeur, sa seconde "fille" attirait ses pulsions. En même temps, il n’osait réaliser ce désir que pourtant il avait exprimé plus tôt. Désir que Bruno semblait avoir porté vers Victoire, Franck vers Alicia et Ugo vers Bérénice. Mais aucun ne faisait un geste, n’émettait une parole en ce sens.
Roger sentit qu’ils étaient peut-être en train de passer à côté d’une sacrée partie. Et se contenter d’une branlette de voyeur était un bien piètre honneur fait au tableau qui se déroulait sous leurs yeux. Finalement il choisit l’option de prendre un chemin détourné :
— Alors, Ugo, elle te plait ma femme, hein ? C’est une putain de cochonne, non ? Tu irais bien la baiser, non ?
Surpris, Ugo regarda son ainé d’un air étonné, se demandant visiblement si c’était du lard ou du cochon. Il choisit de répondre de la même façon, pour laisser planer le doute :
— Ouais, elle est bien baisable cette chienne. Ça doit être sympa de la tringler et de la secouer cette vieille trainée... Et ça te dirait d’aller fourrer ma petite salope ?
— Je ne dirais pas non mais là c’est ma grande fille dont j’irais bien remplir les trous.
— Ma reine des salopes, hein ? Je te comprends bien, ...
... Roger. C’est vraiment une folle du cul quand elle veut. Je pense qu’elle est comme sa petite sœur, avança Franck.
— Oh que oui. Elle aime la bite ma future femme. Et la chatte du coup... Une vraie avaleuse de bite, un garage grand ouvert pour des queues prêtes à la faire gueuler, confirma Bruno. Et ta fille m’a tout l’air d’être une belle salope dans son genre aussi...
Roger avait vu juste mais tout le monde tournait autour du pot, déclamait des fantasmes sans oser sauter le pas... Il était frustré mais n’arrivait pas à lancer réellement l’idée. Il allait renoncer quand Franck lâcha :
— Et si au lieu de causer, on allait les défoncer ?
Il parut aussi surpris que les autres mais cela eut le mérite de mettre les choses au clair. La main sur le sexe, ils réfléchirent un quart de seconde avant de hocher la tête.
— Allez, on y va, proposa Bruno plein d’enthousiasme.
— Ok mais doucement, fraudait pas les faire fuir, rappela Franck.
Ils allaient se lancer quand Roger objecta qu’ils allaient devoir se désaper une fois là-bas, ce qui risquait de mettre un coup de frein rédhibitoire. Alors ils se déshabillèrent derrière les buissons, posèrent leurs habits proprement sur ce qu’ils avaient apporté. Ils sortirent de leur cachette, nus et le sexe fièrement dressé au vent. Ils approchèrent à pas de velours, ne faisant crisser d’un caillou ou deux. Les quatre femmes, toutes à leur tâche, n’eurent pas conscience de leur présence. Jusqu’à ce qu’ils se manifestent en ricanant ...