Flora (11) - Histoires de Sexe

Flora (11)

Flora essaye de parler mais sa mère lui coupe la parole.

— Tais-toi petite salope ! Descend de ton étalon et file à la maison ! Flo, nous devons parler de ça !!

Flora fait un signe de tête à Sylvie qui soulève son cul pour retirer sa chatte de ma bouche trempée de mouille et qui lui dit.

— Qu’est-ce que c’est que cette histoire... Flora... Paul est ton grand-père ?

— Attends-moi dans le salon, je te rejoins.

Sylvie ramasse ses vêtements et sort de la chambre.

Martine se tenant au pied de mon lit, elle a une vue parfaite de nos sexes unis et lorsque Flora lève doucement son cul en l’air, ma bite glisse lentement hors de sa jeune chatte toute chaude. Quand elle est à mi-chemin sa mère a une sorte de gémissement et dit.

— Doux jésus ! Ce n’est pas possible ! Jean ! Comment peux-tu... avec ta... FLO sort de là ! Tout de suite !

Flora a dans ses yeux une lubricité que je lui ai rarement vue lorsqu’elle continue de soulever son cul pour extraire sa chatte de ma bite. Sa mère peut voir son sexe juste au-dessus de mon gland entre ses lèvres trempées quand sa fille crie.

— OUPS !

Et qu’elle retombe sur moi en gémissant.

— Huuuummm, qu’elle est bonne !

Toute frissonnante de plaisir salace, Flora me sourit puis lentement, je veux dire très lentement, elle retire sa chatte de ma queue en regardant sa mère pour lui dire.

— Voilà, ça va comme ça... t’es contente...

Avant de se pencher rapidement sur moi pour sucer ma queue pleine de son jus et ...

... ajouter.

— Miam ! Ma chatte a vraiment bon goût !

— FLORA ! Fous-moi le camp d’ici ! Tu vas m’entendre quand j’en aurai fini avec ton grand-père.

Flora me donne un rapide baisé en me disant.

— Occupe-toi bien de maman, Papy. Tu sais comment calmer une femme en colère.

Et d’ajouter dans le creux de mon oreille.

— On reste à coté avec Sylvie.

Plusieurs minutes de silence avant que Martine reprenne ses esprits pendant lesquelles je l’observe. À 39 ans, elle est en pleine maturité et c’est bien la source incontestable de la beauté de Flora. Elle fait plus jeune que son âge et pourrait être sa sœur ainée plutôt que sa mère, avec de beaux yeux verts, des seins plus gros et des jambes fantastiques.

— Jean, comment as-tu pu faire ça avec ta petite fille ! Et s’il te plaît, couvres-toi !

Je remarque que ses tétons pointent sous son chemisier et en souriant je lui réponds en caressant ma bite toujours pointée vers le plafond.

— Je suis dans ma chambre et je préfère rester comme je suis.

Euh, mais... bégaye Martine, ses yeux allant de ma bite à mon visage pour revenir se fixer sur ma queue pendant plusieurs secondes avant qu’elle ne rougisse et détourne les yeux.

Ironique je lance.

— Alors, Martine, elle te plaît ? La taille te convient ?

Elle me regarda perplexe avant que ses yeux ne s’agrandissent et qu’elle réponde.

— Tu n’es qu’un sale pervers ! Un immonde salaud ! La mère ne te suffit pas ! Il faut que tu baise sa fille !

Son regard de ...