Mercredi 18 novembre 1981
Datte: 13/11/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Maceran, Source: Hds
... produise, disons que je ne verrais rien. »
AL n’était plus là, elle suivait son idée, sa respiration s’était un peu accélérée, … Tout à coup il vint l’idée que AL me tendait, peut-être, sans s’en rendre compte clairement, une perche, me proposant une sorte de marché, elle fermait les yeux pour samedi et peut-être plus et je m’occupais d’elle, … je trouvais l’idée drôle, excitante, … j’étais la maitresse de son mari, elle s’offrait à être mon amante, …Instinctivement et sans réfléchir plus avant, pendant qu’elle parlait, je me penchais et posais mes lèvres sur les siennes, … Quelques secondes d’hésitations et ses lèvres s’entrouvrirent, s’ouvrirent et nos langues firent connaissance. Ce fut un baiser surprenant, excitant et même extrêmement tendre. Je me levais, elle se leva et je la pris dans mes bras, on se colla l’une à l’autre, pour un nouveau baiser plus fougueux, puis je descendis le long de son cou, elle frissonna. J’ai hésité, mais au point ou nous en étions, il fallait y aller. Je la poussais contre la table et je remontais sa jupe, elle m’aida à la coincer et je glissais une main dans son entrejambe, qu’elle ouvrit avec un soupir de plaisir, et tombais sur sa petite culotte, que je sentie légèrement humide. Sentant cela, je me dis que c’était gagné. Alors que je m’efforçais de lui enlever, je lui dis : « Tu portes encore çe truc, … » Elle : « Pas tout le temps, … Au lycée, je ne pourrais pas ne pas en avoir, … » Quand il fut enlevé, la regardant, je le portais à ...
... mon nez et reniflais son odeur et ce pour lui dire : « Tu sens bon, … t’es toute chaude,… » Elle, toujours en appui sur la table, les cuisses écartées : « Arrêtes, … tu me rends folle, …je ne sais plus où j’en suis, … »
Pour ma part j’étais excitée au possible, je sentais que mon rythme cardiaque c’était accéléré, ma tête bouillonnait, tout d’un coup, je voulais cette femme, elle était prête également, c’était le bon moment, je me rapprochais d’elle et une main sur sa chatte je la caressais, elle réagit aussitôt, écartant les cuisse avec : « Oui, … viens, … ». Je dirais pratiquement instinctivement j’enfonçais deux doigts dans son fourreau chaud et humide, elle était ouverte, prête à se faire prendre, prête à jouir et c’est ce qui arriva rapidement : « Oui, … j’aime, … ne t’arrêtes pas, … je sens que ça vient, … continues, … tu vas me faire jouir, … OOOOOHHHH, … OUIIIIIIII, … » et elle fut parcouru par un long frisson suivi d’un spasme aussi brutal que surprenant. Quant à moi, si cela m’avait un peu calmée, j’aurais eu besoin d’un homme pour me calmer. AL, sembla retomber sur terre ou se réveiller, elle rabattit brutalement sa jupe et me regardant dit : « Je suis folle, … je ne sais ce qu’il m’a pris, … oublies ce qu’il vient se passer, … et rends moi ma petite culotte, …». Là, je n’étais pas d’accord et lui répondis en tenant son petit slip : « Je la garde en souvenir, …J’ai aimé ce que nous avons fait, … tu as aimé aussi, … on se reverra pour recommencer, … », elle était ...