1. Les charmes indiscrets de la bourgeoisie (1)


    Datte: 13/11/2021, Catégories: Hétéro Auteur: DarkSad, Source: Xstory

    ... porte-jarretelles et des bas de la même couleur. Son regard a du mal à rester sur la route, je propose une pause, il bifurque sur un petit chemin de terre, stoppe le moteur et là, je suis quelque peu directe :
    
    — Vous ne voudriez pas me sauter, s’il vous plait ?
    
    — C’est-à-dire ?
    
    — Il faut que vous me baisiez, dans les plus brefs délais.
    
    — Mais enfin, voyons, madame, qu’est-ce qui vous prend ?
    
    — Bon, arrête de discuter inutilement, tu vois bien que j’ai la chatte en feu ! Faut vraiment me baiser tout de suite !
    
    — Vous êtes sûre que c’est ce que vous voulez ?
    
    — Mais défonce-moi la chatte ! Tu es une couille molle ou quoi ?
    
    — Couille molle ? Attends, tu vas voir si je suis une couille molle !
    
    Il commence par pétrir mes seins alors que mon soutien-gorge se fait la malle en douce. Puis nous échangeons des baisers fiévreux, violents. Je suis presque nue, vêtue seulement de ma culotte trempée comme une soupe électorale et de mes bas de soie blancs. Mon corps brûle, les pointes de mes seins sont douloureuses, elles ne demandent qu’à être mordues, violentées, meurtries. Ensuite, il m’entraine hors de la voiture, et il me renverse sur le capot du moteur.
    
    — Ha tu veux que je te baise salope ? Et bien je vais te baiser comme une chienne !
    
    — Ho oui, baise ta pute, défonce-moi la chatte !
    
    Ses mots m’excitent davantage, je ne suis qu’une putain, une fille de mauvaise vie. J’halète. Je suis en chaleur. J’ai envie de son concombre bien profond en moi. D’un ...
    ... coup de rein, il s’enfonce en moi, son membre turgescent comble entièrement mon petit minou douillet, humide et parfumé.
    
    — Tu as la chatte la plus étroite que j’ai connue, ho putain, t’es trop bonne !
    
    Il me pistonne longuement à un rythme d’enfer, je jouis follement et pas qu’une seule fois.
    
    — C’est pas fini salope, ouvre la bouche !
    
    Il me présente son pic dressé devant mon visage, je l’embouche. Je goute mon odeur, et il jouit d’abord dans ma bouche, puis il étalesa crème sur mon visage, tandis que je reste agenouillée, pantelante. Sa lance d’incendie perd sa vigueur après avoir éteint le feu qui couvait entre mes cuisses et il l’essuie dans mes cheveux.
    
    Nous reprenons la route. Je ne me suis jamais sentie aussi salope et aussi bien. C’est comme si une digue venait de se briser. Nous roulons en silence mais c’est celui qui succède l’acte, quand on se sent assez proches pour ne rien dire. Quelques minutes plus tard, nous arrivons devant un garage auto. Je le remercie, vérifie l’état de mon maquillage dans son rétroviseur et je sors de la voiture d’un pas assuré.
    
    Le garage est situé à coté d’une station service de carburant. Je ne vois personne. Je furète un peu, et je tombe sur l’artisan mécanicien, penché sur le capot d’une voiture. Il est torse nu, sa peau hâlée est trempée de sueur.
    
    — Monsieur ?
    
    Il se retourne, j’ai une vision de ses abdominaux parfaits, de son visage à la mâchoire carrée, de ses pectoraux appétissants.
    
    – Madame ?
    
    Ce mot me ...