Le rugby ne s'arrête pas au match
Datte: 13/11/2021,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Roberts, Source: Xstory
... avait fallu l’aube de sa quarantaine et de sa splendide maturité pour connaitre ce régal. Ah si ses parents la voyaient... Elle chassa vite cette pensée pour se concentrer sur la pénétration. L’entrée de Kevin lui arracha un soupir de satisfaction et elle noua aussitôt ses jambes autour de ses reins pour accompagner son mouvement. L’homme la besognait lentement en la regardant droit dans les yeux. Elle ne détourna pas le regard, le défia même, manière de dire : "toi le super mâle, tu as intérêt à me faire jouir". Comme une auto prenant de la vitesse, l’homme se mit à aller et venir crescendo, encouragé par la pression des talons de Gaelle sur ses reins. Elle jeta un bref coup d’oeil à côté. Karine était dans la même position mais de manière plus acrobatique puisque ses talons reposaient sur les larges épaules du pilier. Par un synchronisme sans doute involontaire, les deux hommes avaient décidé d’emballer le match. Leurs percussions devenaient de plus en plus sonores et virulentes, le bruit des lits en souffrance se mêlait à celui du clapotis des sexes joints et des halètements des quatre protagonistes. Karine perdait les pédales et proférait des interpellations ahurissantes et néanmoins surexcitantes aux oreilles de Gaelle :
— Ta bite, donne-la moi, ta bite, ta bite, ta biiiiiiite !
L’autre ne faisait que ça, fourrer sa bite dans ce cratère, la rentrer et la sortir à la vitesse de l’éclair. Subjuguée par l’ambiance, Gaelle se lâcha aussi et plantant ses ongles dans ...
... les épaules de son mâle :
— Encore, encore, plus vite, vas-y, jusqu’aux couilles, jusqu’aux couiiiiiilles !
Quasiment simultanément, les deux hommes explosèrent en grognant, la sueur au front, les reins en feu et la tête en ébullition. Bon Dieu, quelles nanas ! Celles-ci savouraient leur orgasme comme un lent reflux, caressant leur amant, quémandant leurs lèvres, le regard plein de gratitude, tant il est vrai que la hantise permanente d’une femme est de ne plus susciter le désir.
Elles furent les premières à passer à la douche car elles aussi avaient beaucoup transpiré. Elles se rhabillaient pendant que les hommes leur avait succédé dans la salle de bains et Gaelle interrogea Karine :
— Qu’est-ce qu’on fait maintenant ? On part faire la fête avec eux ?
— Je crois qu’il ne vaut mieux pas. Tout le monde va savoir qu’on a couché et on va se faire emmerder toute la nuit, à commencer par les autres nanas, qui ne rêvent que de faire pareil. En plus, ils auront tous un coup dans le nez. Non, je crois qu’il vaut mieux rentrer.
— Tu as raison. D’ailleurs, je suis un peu crevée et je te rappelle que demain, on a du boulot.
Ce fut d’ailleurs l’excuse avancée par les deux filles à leurs amants d’un soir pour s’éclipser, à leur grand regret. Karine et Gaelle concédèrent leur numéro de téléphone portable pour faire passer la pilule et promesse fut faite de se retrouver au prochain match.
— D’ici là, on verra, ils ne seront peut-être même plus dans l’équipe, glissa ...