Soumission inattendue chez le médecin (1) - Histoires de Sexe

Soumission inattendue chez le médecin (1)

... l’enduit de vaseline. Il me rempli généreusement le cul de cinq volumes d’eau. Je suis remplie comme une chienne. Je dois faire un effort surhumain pour ne pas bander, ni pour gémir comme une truie de plaisir. Mes joues sont rouges cramoisies de honte et d’excitation. Il attend quelques secondes mais vu que je me retiens pour ne rien expulser, il saisie la poire pour me remplir davantage. A la huitième poire, je suis au supplice, j’ai l’impression que mes intestins vont exploser à l’intérieur de mon corps. Mon ventre est gonflé. Il se met à remplir la poire, pour une neuvième insertion,

— Je crois que ça va aller docteur, je vais exploser.

Il sourit, honteux, quelques secondes plus tard, mon cul expulse l’ensemble des matières fécales et toute l’eau à l’intérieur de mes boyaux. Je suis honteux et je vous assure que je n’ai pas du tout envi de bander. Je suis épuisé. Afin d’être certain de tout avoir expulsé, le docteur me remet le volume de trois poires. Je n’en peux plus à chaque fois qu’il vide la poire dans mon fondement, je grogne face à ce supplice. Je grogne également lors de l’expulsion. Je suis totalement abandonné ; je n’ai plus de défense, je lui suis soumis totalement.

— Bon je vais t’examiner.

Il m’enfonce l’embout du tube de vaseline dans l’anus et appui dessus. Quel délice. S’en suit ses deux gros doigts qui me fouillent profondément. Ce salop s’attarde longuement sur ma zone érogène. Mon sexe sans se gonfler, s’allonge de plaisir. Il enfonce un ...

... troisième doigt pour me fouiller encore et encore. Au bout de cinq minutes d’examen approfondies, il se lève pour prendre quelque chose dans un tiroir. Quand il se retourne, je reconnais l’objet. C’est un spéculum. Merde, je vais me faire défoncer la rondelle, je ne vais pas pouvoir ne pas bander bien longtemps avec un tel traitement. Il me l’enfonce sans rien m’expliquer, je gémis un peu sans essayer d’avoir l’air d’une truie qui prend son pied. Lorsque le spéculum est entièrement enfoncé, le docteur serre la poignée ce qui a pour effet d’écarter ma rondelle. Je n’ai jamais ressenti un tel délice. Lorsque l’élasticité de ma rondelle a atteint son seuil limite, je supplie le médecin de stopper la dilatation.

Il verrouille en serrant un dispositif.

Sauvé par le gong, le téléphone sonne. Le doc me laisse en plan, les pieds dans les étriers, le cul dilaté à outrance par un spéculum. Il est assis face à moi. Il a une vue imprenable. La douleur de la dilatation extrême commence à faire face au plaisir. Mon sexe se détend de plus en plus.

— Oui Sophie, apportez-moi le dossier, je vais faire l’ordonnance.

Quoi quelqu’un va entrer dans le cabinet. Deux secondes plus tard, toc toc, la porte s’ouvre. La secrétaire entre dans le cabinet. Horreur, c’est une stagiaire d’une 20ène d’année, blonde, 90c facile, longues jambes. Elle est vêtue d’une petite brassière, et d’une minijupe. Elle va vers le bureau sans même regarder dans ma direction. Elle parle à voix basse avec le médecin, ...