1. COLLECTION JEUNE – VIEUX. Le pari fou (1/2)


    Datte: 06/08/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... cadeaux.
    
    Au début, je cherche l’âme sœur en sortant de fac ou je suis des études pour être psychologue, j’aime écouter les gens parler plus que je ne parle.
    
    Je suis les cours à la Sorbonne et le Quartier latin est bien connu pour les personnes d’un certain âge qui y habitent.
    
    C’est dans un café du boulevard Saint-Michel que je pose ma première banderille, une table est libre à côté d’une autre ou une femme âgée, mais sans que je puisse déterminer dans quelle catégorie la faire concourir est seule.
    
    Le serveur m’apporte un demi, au moment où je cherche à engager la conversation une très jolie blonde s’assoie à côté de la dame et l’embrasse.
    
    • Bonjour, maman excuse mon retard ma coiffeuse me racontait une histoire qu’elle avait lue sur Internet sur le site HDS, il y a des auteurs qui sont complètements déjantés, mais elle m’a émoustillé.
    
    La jeune blonde parle en évitant que je ne l’entende regardant à droite et à gauche et force est de constater que je l’ai entendu.
    
    Le rouge lui vient aux joues ce qui lui va bien.
    
    J’aurais voulu engager la conversation, j’aurais eu plus de mal.
    
    • J’ai entendu, mais continué de parler avec votre maman, mes oreilles sont fermées.
    
    • Je vous laisse, on se voit demain, j’ai rendez-vous dans vingt minutes.
    
    Je vois ma proie s’éloigner après avoir embrassé sa fille et m’avoir salué.
    
    • Vous avez beaucoup d’écart avec votre maman.
    
    • Oui, un amour tardif avec un connard qui l’a quitté dès qu’il a su qu’elle était ...
    ... enceinte, elle avait 42 ans et j’en ai 20.
    
    • Elle a refait sa vie.
    
    • Non, cette expérience malheureuse l'a vacciné des hommes, elle vient de partir vers son amour, mais qui est dépourvue de sexe mâle.
    
    • Elle est lesbienne.
    
    • Elle refoulait ce penchant, mais un jour à cette terrasse de café sa voisine a engagé la conversation comme nous en ce moment, elle a terminé dans son lit, depuis elle se font des cinq à sept sans jamais vivre ensemble.
    
    • Tu es lesbienne aussi.
    
    • Non, je les aime bien dur et bien grosse comme celle qui s’occupait de l’héroïne dans l’histoire porno que ma coiffeuse me racontait.
    
    Je vous choc ?
    
    • Non, la mienne est bien grosse et je sais m’en servir.
    
    C’est ainsi que cinq minutes après, nous rejoignons mon logement sous les toits.
    
    Je la sexe toute la nuit, elle m’a dit vrai, une vraie panthère, j’ai loupé la mère qui aurait joué dans la catégorie des 60 à 69, mais après avoir baisé la fille, je me vois mal baiser la mère surtout avec sa copine lesbienne, j’ai de la morale tout de même.
    
    Au matin, elle me quitte, faisant partie des étoiles filantes qui passent régulièrement dans mon lit sans s’arrêter.
    
    Les couilles bien vides le lendemain, je retourne à la fac, je dois refuser l’approche d’une jeune bachelière qui semble flacher sur moi chaque fois qu’elle me voit.
    
    Sûrement une jeune pucelle, les pires, tu leur ôtes leur petite membrane et elles sont persuadées avoir trouvé l’amour avec un grand A.
    
    J’appelle Julien, lui ...